vendredi 28 juin 2013

Palermo- Sabati alla Piazza Bellini… I SPOSI... Les noces Volet Nr.5


 

 

Palermo - Sabati alla Piazza Bellini… I SPOSI... Les noces   Volet Nr.5

Die Hochzeit…

 

Palermo, il giorno che la vidi per la prima volta... Volet Nr. 5

 

La première fois que je vis Palerme… Volet Nr.5

Das erste Mal als ich Palermo sah… Volet Nr.5

 

(Français/Deutsch

 

1
Revenons sur nos pas, sur la Piazza Bellini où nous passâmes des journées entières à respirer l’air exotique venu d’un mélange de cultures innombrables et dont chacune a laissé sa trace, s’accommodant, se mélangeant avec bonheur entre elles .

2
Beau temps fixe… Schönes Wetter heute!

Attardons-nous y  encore un peu, parce que c’est samedi et la place se fait de plus  en plus vivante, on dirait qu’elle attend un événement, qu’elle se prépare à une festivité, tout devient subitement solennelle.

 

3
 
Des gens attendent en habits de cérémonie quelque événement important qui pré augurent des émotions....

 


 
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Le rythme distinct de sabots, à la cadence mesurée…. et des trépidations, se font entendre au loin, s’approchant  de la place. Tous les regards se tournent vers… la calèche, tirée de beaux chevaux décorés pour  l’événement de prestigieux harnais et hochant leurs massives têtes comme pour acquiescer, crinière jetée en arrière, puis s’inclinent légèrement au tournant de la Via Maqueda, pour marteler de leurs sabots au joli trot les dalles de laves de la place, étincelantes sous le soleil comme un miroir, pour s’arrêter devant la chapelle de la Martorana !

 

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L’attente… imprévue de deux paires des belles jambes. Les sabots puissants  du cheval impatient, et la fente affolante d’une robe élégante…

 

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Samedi est le jours préféré des couples pour ce marier…
 
Ici l’on peut assister encore à un véritable mariage, tel qu’il doit être entendu ; symbolisant l’origine divine de la vie, dont les unions de l’homme et de la femme sont des réceptacles… il relève des rites de la Sacralisation de la vie qui précède à la transmission de la vie. Ah, les femmes sont prédestinées à être porteuses de l’aromates… La femme est plus liée que l’homme à l’âme du monde, aux premières forces élémentales, et c’est à travers elle que l’homme communie avec elle.
Hier kann man noch, glücklicherweise, einer „richtigen“ Hochzeit beiwohnen, das heißt, zwischen Mann und Frau! So wie es die Natur es will, so wie sie geschaffen wurden, um sich zu lieben und deren Frucht ein Kind ist… welches die Menschheit bestehen lässt… keine steriles Paar, wie es nun die neue dekadente Mode ist, zwischen zwei gleichen Geschlechtern. Die Hochzeit hat hier ihren heiligen Sinn behalten! Kein Naturgesetz wird hier beschmutzt…Die Frau bedeutet das ewige Leben, sie trägt das Leben, ist dazu berufen und ist fester an die Seele sowie an die geistigen Kräfte der Welt gebunden als der Mann… welcher nur durch die Frau mit ihnen verbunden ist! Huch wie schön figürlich!
 
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L’église la Martorana  parée  pour la fête de ses voluptueux palmiers sous lesquels s’attardent des invités au mariage patiemment…

 
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L’arrivée du jeune couple en quête vers le bonheur du mariage suscite la joie et l’engouement des invités… des applaudissements fusent… tous sont subjugués par sa beauté, sa belle robe de mariée toute en dentelles fines et blanches.

Le cheval  portant  des dentelles en son honneur et son carrosse élégant donne une image sortie d’un autre siècle…

 

 
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Sous le voile on dévine un beau visage , sa bouche souriante… entouré de boucles d’or de ses cheveux…et ses traits fins où rayonne le bonheur de ce jour pour elle…sur une bouche souriante…

La belle mariée à marier descend sous des applaudissements, en relevant sa belle traîne et son   futur époux, discret et fier d’elle, lui offre la main pour l’aider à descendre de la calèche , poser son joli pied sur la première marche à monter vers le bûcher du bonheur.

 

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Les demoiselles d’honneur souriantes, drapées de belles robes et de longues écharpes blanches sur leurs épaules… ne sont pas moins élégantes et  jolies, apportent  le sourire aux lèvres…une surprise ;le cheval incline sa lourde tête, acquise, et un bouquet de roses sur les dentelles de la calèche prodigue son parfum…

 

 
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Une belle sicilienne à la coiffure artistique compliquée et épaules nues, une robe d’une belle coupe longue… se penche de la terrasse de l’église pour saluer le jeune couple… de longues stries du palmier cachent un peu la pudeur de sa belle nuque dénudée.

 

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Les invités d’honneur, en grande pompe et dont l’élégance ne laisse rien  à désirer, savourent cet instant de félicité ! Tous sont réunis sur la terrasse de la Martorana qui attend les futurs époux avec  à  l’intérieur sa profusion de mosaïques d’or… pour les éblouir de…

 

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Un dernier coup de fils d’un Monsieur sobrement habillée avec un chandelier sur la tête

Le père jette un dernier coup d’un œil de colère ( mais on ne sait jamais où commence la vérité et où finit la comédie).....sur le futur gendre pour l’avoir dépossédé de sa fille, a vedere lo Zito, .. il Babbo fa il muso !

 

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La beauté de la mariée encore entourée des blancheurs de dentelles, de fleurs et d’étoffes, fut applaudie, avec grâce elle  monte  les quelques marches vers le bonheur…

 
C’est samedi.....il sabato si chiama allegracuore, beato chi ha una bella moglie. Le jeune époux ne s’est pas trompé de son choix !

 

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La chapelle  La Martorana  les accueille avec sérénité et dans toute sa majesté   dont elle déploie les splendeurs et dorures à l’intérieur de la nef, pour les noces… leurs noces

 

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où le curé, un peu flou… le portable collé à l’oreille, les attend… dove il prete li aspetta, il cellulario collato all‘orrecchio.

 




 

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le sposi promessi   

 
Les deux demoiselles d’honneur entourent les mariés tiennent des colombes et des bouquets de roses dans  leurs mains qui, libérées, prennent leur essor tels des messagers de bonheur… elles s’envolent d’un coup d’aile pour se confondre dans le ciel éblouissant de lumière de Palermo…

 


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La Martorana, un vrai bijou à la dimension humaine, est le cadre doré idéal, le lieu parfait, pour accueillir les couples de colombes amoureuses ; les futurs époux, venus, pour y recevoir la bénédiction de leur(s) noces devant l’autel.

 

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Deux jeunes hommes tirés à cinq épingles, faisant partie des invités, font figure sérieuses, chaussés de lunettes de soleil noir, cigarette et barbe bien coupée carrée, gomina de luxe sur les cheveux, ainsi ils surveillent d’un œil les festivités… l’on dirait qu’ils sortent du film le Parrain…

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Ainsi, après avoir quitté la chapelle d’un pas cérémonieux, les deux époux, désormais unis pour le meilleur, descendent l’escalier  et posent  leurs pieds sur la place, gonflée de bonheur et de sollicitude d’avoir servi au décor à ce bonheur accompli. Les fines petites bottines blanches de la mariée courent comme deux colombes amoureuses, (  come due piccioni bianci innamorati... ) fières de la félicité toute fraîche sur son visage.

 

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Leur calèche les emmène trotter sur la belle et terrible Via Maqueda, noircie par les artifices des processions et d’autres éléments moins avouables.
Une petite parade, histoire de montrer et d’exhiber leur joie, ils seront largement applaudis …
Au célèbre “Teatro Massimo” leur trace  se perd dans les nuages romantiques, laissant la foule derrière eux pour se fondre corps et âme dans le bonheur. Laissons les seuls, au soleil bienveillant qui n’a jamais manqué de les accompagner.

 

 

 

Die Ehrengäste und Trauzeugen sind zur Hochzeit eingeladen und verharren auf der kleinen von Palmen une Pflanzen geschmückte Terrasse der Kirche…La Martorana. Die Damen in  hübschen Kleidern, die Herren in schwarzen gutgeschnittenem Anzug, nur die kleinen Kinder  sehen wie weisse   Engel aus.. alle warten auf die Ankunft des Hochzeitspaares… welches der leichte Trab eines Pferdes  schon von weitem ankündigt… bald wird die  geschmückte Karosse von der Via Maqueda auf den Piazza Bellini einbiegen und das Paar die Treppen zum Glück ersteigen, um in der Kirche getraut zu werden…

 

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aber vorher, wird nach altem Brauch, von dem  Brautpaar zwei dutzend weisse Tauben freigelaussen, welche unter  herzlichem Applaus gen Himmel steigen… es soll ihnen Glûck bringen!

 

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Les musiciens se rassemblent, leurs instruments en main.. brillent  au soleil quel accueil ! le concert commence…

 


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C’est noté… une belle jeune femme s’est laissée inspirer de ses images  de félicité pour des vers où éclatent le bonheur comme un rayon  de soleil sur la lave étincelante !

 


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Le cheval  de notre calèche a tout vu… lui aussi, et nous amènera… par la suite …. dans d’autres lieux..

 

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ein letztes Ständchen……

 

Œil von Lynx Palermo  -27 juin 2013

samedi 22 juin 2013

Les Cappuccini-Palermo-Die Kapuzinergruft. Volet Nr. 4

 
Les Cappuccini -Palermo-Die Kapuzinergruft Volet Nr. 4 
Palermo, il giorno che la vidi per la prima volta... Volet Nr. 4
 





 
 
Aus der Kapuzinergruft in Palermo
 
 
Hallo!
Ihr Lieben.
Lasst euch
Einbalsamieren!
Wollt ihr sein
Immer fort…
Hier im Leben
Oder Dort!
.
Man trocknet euren Körper aus,
Bis ihr dünn wie eine Maus.
Die Chemie macht den Rest,
Wenn ihr trocken und aufrecht
In besten Kleider da nun steht
Und aus Euren Glotzen späht.
.
Auf Besuch kommt die Familie,
Erzählt euch Neues, näht einen Knopf,
Kämmt euch die Haare auf dem Schopf.
Zupft den Strohalm aus der Hose
Putzt die Schuhe… Glanz aus Dose.
Dankbar werdet ihr dann lächeln,
Etwas schräg an der Wand,
Wenn sie schütteln euch zum Abschied
Herzlich noch einmal die Hand.
.
Dann gehen sie und kommen wieder;
Einmal werden sie auch bleiben
Und mit euch das Schicksal teilen…
 


Annexe ;
 
Vous voulez être conservé après votre trépas ? Alors… laissez votre corps aux mains d’un embaumeur qui le dépouille de ses viscères et le fait sécher ensuite pendant quelques mois au cloître sur des briques consentantes.  Après cette opération on vous rhabille avec vos plus beaux vêtements, et on vous conduit aux Cappuccini… épinglée sur votre poitrine, vous porterez  une étiquette indiquant votre nom, l’adresse et la date de votre décès… Cela permettra  à vos chers de vous  reconnaître encore longtemps après que le temps aura fait son œuvre, et les mites, repues de vos vêtements se sont engraissées. Rien de grave tout cela… Vous garderez votre chapeau et votre sourire pour l’éternité…

Stupeur générale…
 
 
OH… que cela a l’air cruel !
Ils sont debout où couchés.
Les belles momies desséchées.
Dans une clarté aveuglante
Dont l’ombre déjà l’âme hante.
 
 
La tête inclinée aux orbites creuses,
Le regard tourné vers  l’intérieur,
Pour bien marquer que tout se meurt.
Le crâne  rasé bien net, sans un poil,
Où brillent leurs pensées abyssales…
 
Le corps est pris dans ses habits
Qu’il portait déjà pendant la  vie.
Les femmes, charmantes, ne renoncent jamais
Toujours coquettes avec des roses séchées…
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Une robe flétrie, un chapeau garni
De dentelles fines, à peine fleuries…
Le geste pale ornementale,
Indique encore l’amant vassal.
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Une main tremble, perd son bouquet,
Un fil de fer à peine le retient.
À force de vivre dans l’au-delà,
La bouche se tord douloureusement.
 
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Parfois un sourire illumine le visage,
C’est sûrement de celui qui ne fut pas sage…
Il pense aux aventures qui lui manquent,
Et de jolies femmes qui encore le hantent ;
Qu’autrefois il possédait et chérissait,
Et que plein d’extase il embrassait.
L’amour  fut sa vie entière…
Maintenant il est sous la terre.






 
C’est dimanche, la famille vient
Leur rendre visite à toutes ses chairs
Et leur raconte des nouvelles ;
Un bouton à la veste est recousu,
Un poil sur le crâne repoussé.
Le costume brossé et raccommodé.
Les chaussures cirées et astiquées.
Ainsi le mort affronte le temps
Sous un aspect fort élégant…
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La visite donne faim et soif aussi,
Même si l’on pleure ou que l’on rit !
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Le panier du pique-nique vite déballé.
Adultes et enfants ont toujours faim
Pendant la visite de leurs morts,
Parents des trépassés
À la paille arraché…
La tête inclinée, comme souriant,
Les bras ballotant, les jambes flottants.
De jour comme de nuit bien accrochés,
Ou dans des caisses allongés,
Ils rêvent d’une vie noire qu’avant,
Ou le contraire… justement.

 
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Les Capucini sont célèbres,
Ils attendent votre visite
Pendant qu’ils se tordent
Et redressent leurs vertèbres…
Esquissant un sourire pour vous accueillir,
Époussetez leur froc gris costume,
Pour être net et pimpant,
Ils se tiennent droits pour vous saluer
Et pour vos compliments vous remercier !
 





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Ne partez pas sans dire au revoir
Vous reviendrez, le jour viendra.
Ce sera une fête bien éternelle,
Plutôt dans la joie et sans querelle.
Sagement aligné, vous obtempérez
Dans cette longue et drôle allée.
Vous seriez raide et souriant,
Et dieu sera votre seul amant…
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Œil von Lynx -Palermo chez les Capucini 22 juin 2013

lundi 10 juin 2013

Palermo - la Pizzeria Bellini... Volet Nr. 3


 


 
Palermo - la Pizzeria Bellini...  Volet Nr. 3

 

Palermo, il giorno che la vidi per la prima volta... Volet Nr. 3

 

 

 1

 

La Pizzeria Bellini ne pouvait pas trouver un meilleur emplacement à Palerme, au coeur de la veille ville de Palerme, que vous êtes peut-être venu visiter, sur la Piazza Bellini (avec une note musicale…

 

 
 
2
de l’ancien théâtre, nichée docilement, mais fièrement, au fond de la place à côté de la belle église, La Martorana

 

 


Le soleil palermitain brille de son éclat éternel. On vous accueille comme si l’on avait été sûr de votre visite, mais pas comme si l’on vous y attendait: aimable, un peu distant, pas plus. Il faut d’abord faire ses preuves, à vous d’avoir de l’esprit, de vous présenter (en italien de préférence… Sortez votre langue polyglotte de la poche, et ...).

 

3
et la San Cataldo avec ses trois bonnets rouges d’eunuques,   dite “l‘orientale“. (Nous y reviendrons…)

 


Mais quelle place que vous avez trouvée là, vous ne le savez pas encore. Entre-temps, choisissez une de ses grandes et généreuses pizze dont la Pizzeria Bellini a le secret.  Attendez, lorgnez d’abord sur les fameux antipasti  si vous décidez de prendre autre chose par la suite.  Les antipasti  sont  une invention des dieux que les hommes leur ont ravi pour  vous chatouiller les papilles.  Dégustez votre Pizza Margherita ou Capriscosa avec lenteur. Les deux sont au féminin, très très féminin; à la robe ample au bord  brodé d’or, raffinée et au décolleté généreux, débordant votre assiette. Vous la dévorerez d’abord des yeux. .

 


L’olive y trône, omniprésente, comme une Reine, verte de colère: plus piquante ou mûre et pacifique: réconciliant, au milieu des ingrédients richissimes et séduisants. Goûtez ! Accompagnez-la (la pizza) d’une bouteille de   Larmes du Christ  (”lacrima christi”, i lacrime, versées sur les flancs du Vésuve et recueillies, expressément, pour vous), ou  un Corvo Nero  de sang rouge sombre... qui vous bénit de son sourire  pendant toute la durée de votre séjour. Bon appétit ! Je vous laisse, je reviendrai plus tard pour le cafèe...

 

4
Vous vous souvenez, de cette date fatale ?

 

 

Après la délicieuse Pizza avec l’olive triomphante, vous commencez à avoir soif. C’est  normal. Elle était épicée. Laissez-vous emporter par votre élan ! Dégustez un gelato italiano, divin, incontournable au grand soleil de midi. Au risque de devenir gourmand de gâteaux, de glaces et de plats épicés.

Et pour finir, commandez, gentiment, votre espresso serré ou lungo, café latté ou macciato, selon vos goûts. Si vous êtes un habitué (...) on vous l’apportera à la fin de votre repas sans que vous l’ayez à demander (preuve que vous avez été adopté). Et, toujours avec le même air nonchalant, aimable et naturel.

 

Votre espresso arrive, mais vous l’avez déjà senti depuis un moment, ne sachant  d‘où ce parfum venait vous chatouiller le nez. Pas de la table d’à côté, non. Ce parfum, cet arôme profond, agréable et riche, de la graine de café, vous provient d’un petit magasin de torréfaction d’à côté, invisible depuis votre place. Je vous y guiderai.

 



Buvez d’abord votre cafèe par petites lapées comme un chat. Et puis, détendez-vous, heureux de vous  sentir réconcilié avec le monde entier, et, déployez votre plan d’attaque pour la suite de la visite, il n’y  pas de meilleur moment. Toutes les merveilles, dont vous n’avez encore aucune idée, vous attendent, impatientes, pour se jeter à vos pieds. Non, c’est vous qui allez vous y prosterner !  

Demandez il conto, et ne laissez pas des centimes, on ne les prendra pas, soyez généreux. Jouez le jeu du vrai touriste, pour tous. C’est compris dans votre budget, non ? Vous vivez combien de fois ?

 

Je vous accompagne au petit magasin de torréfaction de café, où vous effectuerez votre premier achat peut-être. On se levant, on tourne à droite pour descendre la ruelle de quelques pas qui nous mènent devant le magasin au nom... (Oublié.)

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En face  vous apercevez un artisan sculpteur au travail qui se peaufine une belle madone !

 

Aucune importance, l’arôme vous guide. L’arôme de ces excellents cafés vous attire à l’intérieur du magasin, sombre, de la couleur des graines.  Choisissez parmi les meilleures graines de cafés venus du monde entier, faites les moudre devant vous.  Les graines,  danseront, joyeusement, une dernière tarentelle sicilienne avant de disparaître dans le petit sachet que vous allez emporter, triomphant.

On vous remet votre café moulu avec un sourire complice de connaisseur (de cafèe), et, une petite tasse et une soucoupe qui l’accompagnent, en guise de cadeau, offert gracieusement par la maison.
 
 

Un Cadeau d’accueil ?! Vous croyez rêver. Non, vous êtes, arrivé, à Palerme.

à bientôt, à suivre....

 

Œil von Lynx – Palermo 10 juin 2013