jeudi 7 novembre 2013

Le TRAIN à....Rencontre… La Gare de l’Est - Paris











Le TRAIN à....

 

Rencontre… La Gare de l’Est - Paris



Un jeune couple… avec deux adorables petits enfants… la jeune mère, jolie… les cheveux auburn ouverts… son mari, lui, a le crâne rasé, grand, ils vont bien ensemble… les enfants occupent toute leur attention, car ils bougent sans cesse… eux-mêmes ne se parlent guère… pas une main virile n’effleure cette jolie femme… ni la cherche… aucune caresse furtive… parfois elle se tord un peu, s’étire, s’étale de gauche à droite… croise joliment ses jambes gainées noires… sa main fine et longue esquisse un geste, remet une mèche rebelle à sa place… un geste de coquetterie ?... qui sait ?... rêve-t-elle déjà d’un possible amant ? Se sent-elle un peu délaissée ? Entre eux… la première passion semble être passée… deux enfants sont nés… et maintenant ?... le vide entre eux se creuse… elle croise encore ses belles jambes… un appel de pied ?… elle jette ses cheveux en arrière… joli profil… de beaux yeux elle a… un peu de tristesse dans le regard…








Le brouillard s’accroche dans les arbres, enveloppe les maigres hais, couvre le ruisseau argenté qui, péniblement, se fraie un chemin à travers le paysage endormi encore… seules les vaches dans leur prés sont déjà réveillées et lisent le Journal du Matin… un œil sur la météo, l’autre sur les faire parts… elles sont bien grasses et rondes… le boucher les attend… certaines pleurent…



Du village on entend les chiens aboyer… le soleil ne s’est pas encore montré… bientôt ses premiers rayons découperont les nuages… et les jolies bergères folles du village… ouvriront les volets… les saluer… le jour se lève … le train file rapidement vers sa destination… les heures se hâtent… sont pressées d’arriver… les mats électriques défilent à toute allure… les premières maisons apparaissent en courant dans l’autre sens… le train ralentit… ralentit… ralentit…  une grosse horloge montre ses yeux glauques… ses aiguilles impitoyables indiquent l’heure d’arrivée…



Le train s’arrête… terminus… ils descendent… tous… se perdent dans la foule… souvenirs d’un voyage en train.



Œil von Lynx 12/10/2012

lundi 4 novembre 2013

Die LESE-PLATTE....hahaha!


Die LESE-PLATTE
Der Fortschritt für Amazonen!

 

Die LESE-TAFEL ….vorbei mit dem Buch!
Ha… endlich!… jetzt können wir MODERN sein! …mit dem Fortschritt mit-spielen… mitgehen …mitschreiten… ein überwältigender Fortschritt.. einen Schritt vorwärts in die schöne Zukunft! Sie klopft an eure Tür! Da steht sie: Was ist DAS?

 


 
 
 
 
 
 
Die Zeit ist es, die Zeit ist gekommen…Hallo! Verbrennt eure Bücher, weg damit, rast ins ¨Fortschrittliche Geschäft“ und knallt mir 99,99Euros auf den Tisch… dann habt ihr mich; Die NEUE LESE-TAFEL …die elektronumériquische, virtuelle, aerodynamische, damit fliegt ihr direkt ins neue Jahrhundertausend! Seid ja von QYPE schon daran gewöhnt.
Kreisch!
Selbst für Virginale Amazonen, die im Urwald einen wildlustigen Dialekt auf die Trommel kloppen, können jetzt noch ihr virtuelles Hochsprachdiplomli nachholen! WAUOH!! „Datt wollte ik schon imma!“ kreischt sie voller Übermut!



 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Und was für ein Fortschritt!
Schluss mit dem Koffer voller Bücher den Ihr mit in den Urlaub schleppt… ächz…und zu Hause, reißt die Regale von den Wänden samt Büchern… ins Kaminfeuer damit, der Winter naht… wärmt eure Bude auf! Macht Kratzputze mit den alten stinkenden Schwarten!
Vom Geschäft zurück? Wickelt das neue Fortschrittobjekt, die LESE- TAFEL aus… vorsichtig… da werdet ihr staunen, Yes!

 

Was lese ich?… 1400 Bücher sind drin…oder könnt ihr auf/abgeladen werden, wie Schrott… speichern, heißt das jetzt! Unglaublich….was Ihr da an Platz spart, an Raum im Raum gewinnt!
Vorbei das ermüdende Blättern in den Büchern …hier wird geklickt..
Vorbei die schönen Eselsohren in den Seiten… der Seiten Marker

Vorbei das Dazu-Kritzeln eurer klugen Einfälle daneben zu kritzeln!
Hier haltet Ihr ein Virtuelles Tablett, die NEUE LESE-TAFEL in den Händen auf dem Ihr Eurer Glas Whisky stellen oder den Fruchtsaft dem ungeduldigen Weibchen servieren könnt!

 

 
Eure erotischen Bilder könnt ihr auch abladen und in/ auf die Tafel geilen… ein Klick und weg ist es! Diskretion… Klick… die Puppe ist wieder da! Schön was?

 

Nur einen Nachteil hat‘s… wenn ihr kein Klopapier mehr habt, wenn das mangelt… ja, die Seiten von „Krieg und Frieden“ sind schon im Kaminfeuer verbrannt… aber das wird sicher die folgerichtige, danach und dazu, Erfindung werden und sein… virtuelles Klopapier mit der LESE-TAFEL als Option….kreisch! (Bewunderungsschrei für alles Neue ! )
Also… Ihr habt alles begriffen?
Zum Teufel mit euren alten Schinken …was wollt Ihr nur mit so vielen Büchern? Eins genügt… der Wegweiser von Bockhaus reicht euch doch im Haus!

 

Lesen macht dumm, habt ihr das noch nie gehört? Selbst Nietzschli sah‘s voraus! Also… AUGEN auf im Leben …das ist alles… da lernt man was… da lernt ihr mehr! Augen auf die Brüste… pardon, die Brücke zur Weisheit die ihr überschreiten sollt… mit der neuen LESE-TAFEL! Steigt zum universellen Weltbürger auf! Seid wichtig! Tut wichtig!
Eure alten Bücherschwarten werden mit der Zeit gelb und braun! Igitt! wie unhygienisch!… niemand will sie wieder anfassen… sich vergiften lassen, hauptsächlich vom Inhalt;
Also passt auf, wo und was ihr anfasst, ihr Klugscheisser und Wissenhobler!

 

JETZT… nur noch die LESE-TAFEL!… ein neues Jahrhundert ist ausgebrochen… wie die Pest… man muss mitgehen … großen Schrittes, oder verrecken. Früher warf man sich Bücher an den Kopf!…vorbei diese schönen Zeiten… HEUTE kann man jemanden die LESE TAFEL auf den Schädel schmettern! Das heißt Fortschritt!
Damit sieht man/frau auch fortschrittlicher, moderner und geistreicher aus, auf der Café Terrasse… als mit der Nase in einer braunen Schwarte… und wie Alle auf den blöden Titel glotzen… vorbei jetzt… Diskretion ist alles… ist wichtig!
Für jeden seine TAFEL! Mann wie Frau…So braucht man sich nicht mehr zu unterhalten… habt euch sowieso Nichts zu sagen…
In dieser LESE-TAFEL kann Frau sich auch die Lippen schminkend erdbeerrotglühend nachziehen und Mann mit dem letzten Sonnenschein morsen wenn alles schief geht: S.O.S. habt’s ja nicht vergessen: 3x lang… 3x kurz… 3x lang… bevor die Batterie leer ist! Kreisch!


 
 
 

 
4 Sterne für die FNAC und Lese -Tafel… die freundliche Beratung.. das aufmerksam und heraneilendes Miniröckchen… höflich, Knicks der Dame, süße Wade… rotes Lächeln… überzeugende Qualität! Der dahin geschmolzene Kunde… trabt glücklich nach Hause… 1 Stern für mich!
 
LULU mit der Brille 04/11/2013

lundi 28 octobre 2013

SAINT PIERRE… La Perle des Antilles



SAINT PIERRELa Perle des Antilles





La ville de Saint Pierre, surnommée aussi la Perle des Antilles ou le Petit Paris… blottie dans une baie protégée, entourée d’une verdure somptueuse, était la principale ville de commerce et capitale culturelle à la Martinique. Dans la mer nourricière grouillait encore des poissons, la pêche florissait, et sur cette terre fructueuse les récoltes abondantes enrichissait la ville. On construisait de belles maison au style néocoloniale et ses trottoirs étaient bordés de marbre, OUI ! Inimaginable aujourd’hui ! Une belle et fière cathédrale en hauteur avait vue sur l’horizon… un théâtre de 800 places même où le Tout-Saint-Pierre se pavanait (enfin pas tous !), et le premier tramway hippomobile trottait dans les ruelles pourvues d’un éclairage électrique moderne qu’équipait la ville… déjà en 1900, du jamais vu ! Un jardin  botanique était la fierté de la ville!

D’où on appelait Saint Pierre aussi la Venise tropicale !

Il y régnait, bien sûr, l’esprit du colonialisme hautain et fier au détriment des vrais habitants…
Mais derrière cet apparent bonheur se cacha aussi l’histoire douloureuse et barbare de l’esclavage que nous oublions parfois…. car Saint Pierre pouvait étaler sa richesse grâce à l’industrie sucrière et au commerce des esclaves… qui commença à partir de la période 1641 avec les hollandais. Ce trafic immonde d’êtres humaines qu’est l’esclavage se développa  encore d’une façon hallucinante sous Louis XIV (décision prise à Versailles entre 1671 et 1674 pour favoriser la culture de sucre) le roi soleil… quelle ironie du sort… et vit son apothéose en 1700!


Ce triste sort, la traite de nègres (30 à 50 millions d’êtres humains réduits en esclavage, torturés, castrés et morts épuisés sous le fouet bienveillant des blancs), n’arrose pas une larme aujourd’hui… les éternelles larmes sont pour d’autres !

Petite Interlude :

Le roi soleil… (sic transit gloria mundi) qui avait croisé en 1669 la veuve Scarron… la Marquise de Maintenon, aux Antilles que l’on nommait «  la belle indienne »  car elle a passé sa jeunesse sur cette île

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Et la reine Joséphine, cela vous dit quelque chose ?

N’oublions pas une certaine Marie Joséphine Tascher de La Pagerie, dite Joséphine Rose de Beauharnais… qui est née en 1763 aux Trois-îlets en Martinique… elle fut la première épouse de l’empereur Napoléon Ier de 1796 à 1809 et Impératrice de Français, aussi reine d’Italie de 1804 à 1809 !
Il fallait attendre le 27 avril 1848 lors que, grâce à Victor Schœlcher, l’esclavage pris officiellement fin. Nous en reparlerons plus loin…
Revenons à la ville de Saint Pierre de jadis, d’aujourd’hui et demain…
Au port de Saint Pierre somnolaient d’innombrables navires, leurs voiles rentrées, les mâts pointant fièrement dans le bleu d’un ciel immaculé où régnait un soleil éternel. D’autres accostaient sans cesse ou repartaient avec des chargements précieux… un port des plus actifs alors !
De riches plantages  s’aventuraient jusqu’aux  flancs du Mont Pelée qui faisait le guet d’un œil torve au-dessus de la ville… laissant échapper de temps à autre une petite écharpe de fumée joyeuse qui dansait en sortant de sa gueule au rythme des âmes inconscientes de Saint Pierre… avant de s’évanouir dans les airs mouvementés, balayée par un doux vent chaud… et parfumé !

En bas, à Saint Pierre, on mena une vie en grande pompe ; de belles créoles, dans la fraîcheur matinale, sortaient de leurs maisonnettes … à la démarche nonchalante mais fière, ondulant de leurs hanches, leur fichu bigarré sur leur tête, le visage radieux… elles faisaient leur marché en riant. Les békés déambulaient dans les rues, à leurs bras pendaient des dames évaporées portant des dentelles élégantes et raffinées avec coquetterie… aux longues robes blanches à la mode, un petit parasol blanc mignon protégeait leur teint pâle du soleil fougueux. Les hommes, drapés dans leur éternel costume style colon, sûrs de leur prestige et devancés par la fumée de leur cigare, symbole de réussite, paradaient comme des coqs dans ce paradis!

Beaucoup de monde arpentait le port où mouillaient de belles caravelles apportant des marchandises et chargeaient des trésors produits en Martinique ; de la canne à sucre, le fameux rhum, des régimes de bananes, des mangues appétissantes mûries au soleil généreux, et d’autres fruits et légumes furent chargés à bord, un précieux chargement… le tout acheminait vers l’Europe qui languissait de cet exotisme…
La Martinique livrait sa richesse, pour ne pas dire qu’elle fut spoliée et assujettie par les colons qui régnaient !

Donc… la belle vie se résumait plutôt pour eux, les maîtres  les vrais habitants de cette île merveilleuse, les Pierrotains, n’étaient plus qu’hôtes sur leur propre terre !
Malgré leur souffrance et le fardeau qu’ils portaient, ils profitaient de tout ce qui venait de l’Europe pour faire de St. Pierre une ville des plus importantes des Antilles, par le commerce bien sûr, et par le prestige ensuite suscitant l’envie des autres îles et villes !

On parlait de Saint Pierre avec… fierté, même le plus humble !

Le Morne rouge et le Morne Vert abritaient des sources naturelles dont on puisait l’eau pour la boire au creux de la main… des fleurs exotiques s’élevaient en exubérance parfumant toute île. Dans cette belle et dense forêt vierge on se sentait très proche d’une création sublime que la nature à jamais donnée à voir à l’homme.

Où il faisait bon de se promener, jeter un coup d’œil sur le port en bas et au-delà jusqu’à l’horizon où se levait chaque matin un de plus beaux soleils pour noyer cette belle île dans une chaleur berceuse… sous ses rayons puissants mûrissaient les fruits… et qu’attendaient des fleurs magnifiques pour s’ouvrir!
Tout concouru ici pour conférer un charme indubitable à Saint Pierre… la perle des Antilles !

Jusqu’au jour, le 8 mai 1902, au matin. Le Mont Pelée, l’ogre omnipuissant, se réveilla de son long sommeil traître…  et anéantit la ville de Saint Pierre de son souffle funeste…


Œil von Lynx  25 juin 2013

lundi 14 octobre 2013

NEUES PALAIS… und gepuderte Damen.


NEUES PALAIS…  und gepuderte Damen.
 

 

 
Es roch nach kostbarem Parfum, und gepuderten Perücken elegante Damen rauschten, diskret fächernd, in Kleidern aus wertvollen Stoffen , Spitzen und drapierter Musseline durch die Säle, während die Herren… mit stark betonte feminine Seite, Strümpfe aus Seide und Schmuck tragend… wie steife Marmorfiguren mit kleinem Schnurrbart unter der Perücke ihnen noch zurückhaltend zu lächelten, oder einer Dame vergeblich ein Kompliment nach hauchten …

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In dem mit goldfarbenen Hermen und Ornamentik geschmückten barocken Festsaal setzte das Orchester zum Spiel an, eigens vom musikalischen Genie des Königs komponierte Musik… eine Flötensonate verfing sich im Kronleuchter… verzückt horchen die Damen auf… neigten in verführerischer Geste den Kopf bis über die hübschen, durch das Dekolletee frei gelegten, Schultern… was bei den Herren lautes Herzklopfen verursachte… denn; „Die Süßigkeit der Frauen; sie sind, wie in jeder Genusskultur, der beliebteste Zeitvertreib!“  Es darf erwähnt werden, dass der „caleçon“ (das Spitzenunterhöschen) von Catherine von Medicis diskret schon vom Schlüpfer abgelöst wurde… HUCH! LULU ganz verrückt und erregt…

Kurz, Mann strebte danach, das Leben zu einem ununterbrochenen Genuss zu machen, es war die sogenannte Genusskultur der aristokratischen Barock und Rokokogesellschaft; hier gab es keine Langweile… man amüsierte sich… wenn auch die Anwendung des Zahnstochers als besonders vornehm galt.

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Die Musik tanzte wie eine Zauberquerflöte durch den Festsaal… und man applaudierte höflich das Genie FriedrichSüss, um der Ungnade zu entgehen… Eine leichte Abendbrise neigte sich durch die offenen Fenster und ließ die seidenen Vorhänge wie sanfte sensuelle Atemzüge auf und nieder beben… die Kerzen flackerten in erregtem Zustand feurig hoch… Die Musik lud zum Tanz ein…

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So dürfte ein königlicher Empfang hier im Schloss ausgesehen haben… Friedrich der Große hat den Neue Palais, das letztes bedeutende  Barockschloss in Sanssouci im Jahre 1763-1769  bauen lassen, es diente ihm nicht als königliche Residenz, sondern als Schloss für große Festlichkeiten und zum Empfang der Gästen seines Hofes. Die Familie Bach fehlte natürlich nicht unter den Gästen, besonders sein Hofkonzertmeister Philipp Emanuel Bach.

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Der Neue Palais, heute noch der Restauration unterworfen, beherbergt ein Teil des Schlosses die Philosophische Fakultät sowie die Institute für Mathematik, Physik und Sport der Universität Potsdam… Nur von außen kann man derzeit die Pracht des Schlosses abschätzen… die Barockliebhaber können vor dieser Prunkanlage in die Knie gehen; Immerhin hat diese „fanfaronnade“ (wie man über das Schloss witzelte, außer von 200 Räumen, vier Festsäle und ein Rokokotheater in dem ein Ballett, eine Pastorale in dem der Kronprinz die Hauptrolle mit seiner  Querflöte spielte, gegeben wurde. Selbstverständlich finden dort heute noch Vorstellungen statt!

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Natürlich hatte der König auch ein Friedrichszimmer, ein natürlich königliches Gemach… während seiner Aufenthalte dort. Außer den prachtvoll ausgestatteten Fürstenwohnungen ist der Grotten oder Muschelsaal und eine Marmor Galerie einen Besuch wert.

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Der Muschelsaal
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Der Marmorsaal

Den Hauptfestsaal schmückt ein Wandgemälde mit Szenen aus der antiken Mythologie… Auf dem mit reicher Goldornamentik verziertes Deckengemälde speisen die olympischen Götter…,

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in der Oberen Galerie Erdgeschoss befinden sich Wandgemälde italienischer Barockmalerei… überall blinkt es nach Gold von Girlanden und Medaillons… ein Prunkt der Schwindel auslöst!

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Über 400 „Schwarze“ Sandstein Figuren von großer Schönheit warten auf Restauration, einige sind bereits in neuem Glanz zu besichtigen, und zeugen von dem künstlerischen Genie vielen Bildhauer die hier  mitgewirkt haben, um das Schloss zu bereichern; darunter Johann Peter Benckert, die Brüder Räntz und Gottlieb Heymüller.

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Die Geschichte stürmte vorüber, und im Jahre 1919 wurde das Neue Palais ein Museumsschloss… dann, nach dem zweiten Weltkrieg, von der Sowjetarmee geplündert… die friderizianische Rokokoausstattung hatte vorläufig ausgelebt.

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Auf der Haupt Kuppel, während der Restauration leider unsichtbar, tragen drei Grazien auf einem Kissen die Königkrone… andere kleinere  Kuppeln sind von goldfarbenen Adlern auf einer Laterne gekrönt…

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Die imposanten barocken Laternen verbergen noch ihren Schönheit unter dem schwarzen Tuch der Zeit… man sieht ihnen an, dass sie gelitten haben und nach neuem Glanz streben…

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Auf dem Dach tobt noch eine fürchterliche Schlacht… vom Siebenjährigen Krieg her sicher…
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Von der Allee aus… schaut ein Engel zu ihnen herüber…
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Aber der Frieden ist wieder eingekehrt… sorgenlos träumt frau im Rasen…

 

Oeil von Lynx- Potsdam 14/10/2013