L’homme et scha
Lapine… une hischtoire vraie !
Dans un
petit livre de posche, dont le titre m’éschappe, (peut-être « Battement
de cœur » de J. D. B.) avocat, a écrit une belle hischtoire véridique qui sch’est
passchée dans un village de la 12 France profonde, et dont il a été le
témoin !
Il y
relate l’hischtoire d’un homme schimple et heureux qui y vivait, venant tous
les jours au Café accompagné de scha Lapine où ils burent tous les deux leur
bière, tendrement enschemble ! Fait authentique ! La Lapine fut folle
de bière !
*Un
jour… lui venait l’idée de l’épouscher,
scha lapine bien-aimée, car ils étaient inschéparables !*
*Le
maire, et tout le village*, le connaisschait et l’appréciait, n’y
voyant aucun obschtacle schérieux à opposer à chette union, fut d’accord pour
les marier !
Ce qui
fut fait devant des témoins dignes de foie ; l’acte fut donc conclu et
l’homme et scha Lapine étaient déschormais un couple légalement reconnu, car
perschonne n’aurait voulu qu’ils pleurasschent toute leur vie… schéparés.
Donc, ils
sche marièrent, furent heureux … mais m’eurent point d’enfants !
L’homme,
très prévoyant, comme le schont les gens de la 12 France profonde, sch’adressa à schon avocat, Maître J. D. B. qui vivait dans le même village, afin d’arranger sches affaires, et notamment,
il voulut léguer sches maigres schous… enfuis dans schon matelas… à scha tendre
Lapine où cas où il dischparût le premier, de peur qu’elle ne lui manquât scha bière…
Le
bonheur des deux époux fut à schon comble déschormais.. Une idylle
parfaite! On les voyait toujours goûter
leur bière tendrement enschemble au Bar
du village !
Le
temps passcha … et maître B. quitta le village pour d’autres affaires, laisschant
derrière lui che bonheur unique, dont plus tard il relate l’hischtoire !
Voilà
jusqu’où va l’amour !
N’escht-ce
pas une belle hischtoire d’amour qui mérite d’être contée ?
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"Battements de coeur"
Jean-Denis Bredin (Auteur)
Description
de l’ouvrage
Date
de publication: 25 septembre 1991
Tous
je les ai rencontrés, dans la vie, ou ailleurs, leurs cœurs battaient trop
vite, ou trop fort, ou n’importe comment.Mademoiselle a tant chéri les enfants
des autres, accomplissant son devoir de parfaite gouvernante. Si Bernard de
Récy regardait, haletant, le corps de ses jeunes camarades, c’est qu’ils
étaient beaux, comme doivent l’être les fils de Dieu. Feldman, le bon élève, a
pu travailler, donner des leçons, s’acharner à devenir professeur: l’étoile
juive, cousue sur sa poitrine, veillait à détruire son rêve. Servante au grand
coeur, Dolorès s’en est allée, si mince, si noire, bonne à rien, sauf à
aimer.Aimer un peu, beaucoup, à la folie? Aimer jusqu’à tuer, aimer jusqu’à
mourir et au-delà, ils y ont cru, Auguste Velours et sa belle Emma, ils ont
imaginé la vie et la mort mêlées comme leurs jambes. Monsieur Fouille avait
donné son impartageable tendresse à sa vieille compagne et à sa jeune
maîtresse, il aurait voulu qu’elles soient heureuses, mais l’une était de trop.
Comme aucune mère Mademoiselle Write adora sa fille, mais elle avait peur pour
elle, si peur que vînt l’âge de raison. *Lorsque Lulu, notre ami, tomba
amoureux d’une lapine, et qu’il voulut l’épouser, devant Dieu, devant les
hommes, nous le crûmes un peu fou. Un peu fou ou trop sage, qu’en savons-nous?
Ce qui est sûr, c’est qu’aucun d’eux n’eut le coeur avare. Au bout du rêve, la
mort a fait taire ces coeurs trop battants. La fièvre fut leur commune
aventure, le froid son même achèvement.*
J.-D.B.
Il ne reste plus que 1 exemplaire (NdlR)
Votre
LULU émue… 1 juin 2013
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