Anaïs NIN – Louveciennes

Anaïs NIN - Louveciennes

78430 Louveciennes
518.02.2012

 

 

Anaïs NIN – Louveciennes

 

(AVIS Français/Deutsch)

 

Pour VOUS qui attendez avec impatience un petit striptease d’ELLE….

 

Joli nom… ça sonne comme une orchidée en quelque sorte, sûrement finement parfumée… ein asiatisch anmutendes Gesicht… le visage joliment peint blanc… un air asiatique … normal… il y avait de la racine !

 

Für andere AUGEN

(und ein Stuhl für morsche Knochen..lach)

 

Stuhl

 

War eine Schwindelerregende Frau … von kleiner Statue und asiatisch anmutendem Charme… eine interessante Schriftstellerin und sicher eine Lebenskünstlerin, wie es kaum vorher gegeben hat!

 

 

Dieser Artikel ist ausführlicher auf Französisch, weil so gedacht und entstanden, meine lieben treuen deutschen Leser… aber sicher ist euch diese hübsche zarte Frau nicht unbekannt… ein paar Fotos sollen Euch die Erinnerung an sie wecken…

 

 

 

Anaïs Nin (Angela Anaïs Juana Antolina Rosa Edelmira NIN) ist am 21. Februar 1931 in Neuilly-sur-Seine bei Paris geboren und am 14. Januar 1977 in Los Angeles gestorben.

 

 

Sie war eine französische Schriftstellerin welche durch ihre „Tagebücher“ bekannt geworden ist in denen sie ihr Leben, und die ihrer vielen Geliebten, darunter berühmte, wie Henri Miller, Antonin Artaud, Lawrence Durell, Gore Vidal und Edmund Wilson, mit feiner Feder analysierte! Ihr sehr erotisches Buch „Venus Erotica“ (auch: Henri et June…Journal amoureux), handelt besonders von ihrer Verbindung mit Henri Miller und June… mit einem gewissen Akzent über die Bisexualität. Sie war eine der ersten Frauen, die es gewagt hat, erotische Literatur zu veröffentlichen… damals noch unter die Zensur gefallen!

 

Anaïs Nin… hatte Sex Vornamen … sicher ist sie dadurch inspiriert worden, um ihre vielen Geliebten zu erwählen… lach! Denn der Name hat viel Bedeutung! (meiner Meinung nach…) Als Schriftsteller, dürfte Mann annehmen, dass sie genau so feinfühlig war wie die Frau und Geliebte in ihr!

 

Ach, ich hätte sie gerne gekannt, sage ich offen! Sie ist mein Typ!

 

 

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En Français :

 

Sinon… que fait-elle cette belle petite plante ? D’abord elle vit, et bien, ensuite elle se fait arroser, copieusement…. de toutes sortes d’hommes… cela l’enrichit, elle n’est guère avare de ses charmes… elle le montre et le démontre ; menue, petite femme, mais qui a de la verve… sacrée cavaleuse… et… très très sexy … déjà son apparence invite au viol, oui ! Il y a des femmes qui incitent à la brutalité par leur aspect, leur bouge-au-corps, leurs ondulations… ; des créatures extrêmement séduisantes, fragiles d’apparence seulement, mais fortes, les petits muscles du petit ventre chaud ! Et… il y a des hommes qui voient cela tout de suite!

 

 

Mais quoi, je ne vais pas vous soûler ici avec ses petites fesses non ? Du sérieux, du sérieux ! Le Kapitän tire déjà sa langue… haah ? Et Dame Limoncina veille avec sa loupe, et FyFY, donc, se marre déjà au Porc de Marseille ; alors, soyons, sois sérieux le Baron ; du tricoté, du fluide, du contenu svp ; sinon rien… je me plie à vos exigences de lecteur assidures et futés HMM… lach !

Sans blagues, vous êtes presque les Seuls qui suivent… les autres… déjà tombés dans un trou quelque part, fatigués !

 

 

Qu’est-ce qu’elle a gribouillé la NIN ? Beaucoup, et pas mal du tout ; ça se lit… intéressant à un certain moment de la vie… il s’agit naturellement de sa vie, vie privée aussi !… comme souvent femme écrit dans ses écrits… avec sensibilité und charme, ja, das konnte sie die Anaïs mignonne ! Sie hatte Talent zum Unterhalten, zum Lieben, pour faire l’amour aussi… das will ich ihr gerne glauben … so ein Frauchen… zieht die Männer an und aus… genre de petite femme qui attirent les mâles, lechzend, les déshabille sans sourciller, vrai! Comme toutes les femmes … qu’elles n’avouent pas ?! Haha !
Un peu de discrétion vous ferait du bien, Monsieur ! Du sérieux et en avant !

 

 

Donc, Anaïs NIN écrit des livres avec une jolie plume, elle retrace sa vie et celles des autres, de ses amies bohémiens et autres oisifs et dévergondés heureux ! Dévergondés… pourquoi, moi, je trouve ce mot idiot, abject… devrait pas exister ! C’est quoi ça, d’où ça sort, d’une bouche de curé … du pape peut-être ?… Ils n’ont qu’à se regarder dans le derrière avant de se prononcer ! Tartufferie de mes fesses ! Violeur des d’àpeinenés-fraichedepeau et roteursroses encore ; dévergondé, ils me font rire ceuxlla !… attrapeurs de scrotumsenfolies, enfermez vos salade d’eau jardin du Vatican derrière les mu-murs épais et silencieux… organisation debulbes qui éclosent aux quatre saisons… voilà vous êtes bien là… à l’abri des yeux innocents !

 

Anaïs…Henri Miller et June

 

Ah oui, il y avaitasse aussi JUNE la bêlasse, l’égérie d’Henri le baiseur du coin, le meilleurs défleurator du virage… médaille… de toutes les guerres… méritée ! Il les a flanquées, les deux femelles, les bras dans les bras… ventre sur ventre… nichons sur nichons… pour mater un maxbigleux, le faux fauve gribouilleur… Ce Miller jouisseur n’a pas raté une ni June … bouffait bien de tout, broutait comme un mouton enragé… puisqu’il a y avait toujours de prés et pelouses même interdites… ça broute une bête comme ça !

 

Alors Anaïs…avait la plume et le jupon hauts, ça se comprend, la chaise et … l ‘inspiration venait aussi vite que montait le plaisir … lach… ils ont raison. La première loi humaine c’est ; foutre! N’est-ce pas ? Tartuffeschéries qui louches-là, hein, qu’est-ce qui vous fait avancer dans la vie, hein ? Avouez donc vos polichinelles ! Que vous montez comme Sisyphilis son caillou!

 

 

Ach, ihr lieben Blöden, wisst garnisonnicht warumnicht ihr lebt ! Ich auch nicht, deshalb sag ich’s euch! Alles fumisterie, absurdes, suis pas le seul de l’avoir constaté… même une bête le sent ! L’absurdité qui se baigne dans un grand RIRE pour nous tenir au-dessus de l’eau… à la surface… pour pas nous noyer, sombrer dans les fonds incertains, noirs, dans les … sans retour possible !

 

Alors la NIN-gnonne, que faisait-t-elle tous les jours? Hein, elle observait aussi et bien, las châsses terriblement efficaces ! Elle voyait tout… surtout ses amis de près ; leur immaturité, elle les scalpait, la petite salope… avait du talent ! Elle leur suçait la moelle, rien ne lui résistait… elle remplissait son encrier avec et, hop, la plume et au plume et je te la fourre bigrement, que je l’ouvrisse et t’arrache page pour page, je te le remplisse à fond ton-le bouquin, c’est du condensé son truc ; un véritable almanach et lach de la vie psychologiqeau humaine… gribouille avec talent, oui ! Sacrée petite putassenignonne, on l’embrasseraille la bien pour ça et pour plusqu’ilnefaille…

 

 

Une chasseuse de petites étoiles scintillantes…petite femelle sensuelle, blanche comme la lune d’une nuit pâle… la bouche croquante rouge de fièvre, la paupière lourde et majestueuse frétillant d’excitation, fiévreusement… attendant l’assaut de l’amant, proie par excellence offerte à toutes les fantaisies… Yepp, ça … ça était, ça fut feue la NIN, la petite Anaïs au cœur ravagé par ses amours incessants…la petite chasseuse de semence blanche !

 

Elle a vécu, tête haute et cuisses alertes de quoi épuiser tous les Henris de la terre… épuisée mais comblée, elle fut feu NIN chérie ! Et avec ça elle tenait encore la plume dans sa main branlante tremblante de l’effort !

Elle nous a laissé des impressions fort détaillées … exactes… bien pesées… pas froid aux yeux… nulle part d’ailleurs, brûlante traceuse de son destin ! Le charme donné…elle mérite un monument, et la médaille du résistant… de la vie à la mort !

 

Mais où est donc l’article sur les œuvres de la NIN ?

 

 

à suivre… ça vient !

 

Anaïs commença à écrire étant encore toute enfleurjolie tendrebiche à la poitrine ombrageusementpointue…; déjà la puberté l’aida à s’affranchir du fardeau trop lourd pour femme… les yeux mâles à l’affût !
Finement futée, elle aiguisa ses griffes, affûta sa plume et se mit à gribouiller ! Sa tendre main et ses doigts de fées touchant à peine, effleurant, la page vierge, la sienne… pour creuser les mystères du monde, et surtout celui des mâles bruyants !

 

 

Dont elle avait vite fait le tour, son petit œil bridé les transperça de fond en comble, les mettant littéralement à nus… rien ne lui échappa… les cerfs en rut devaient s’incliner devant lucidité… de la petite Anaïs ! Elle comprenait vite…où il fallait chercher le plaisir ici -bas au monde et tout en tâtant… en profitant de la bourse de son mari, elle sut comment faire ! Des lors elle vit une vie de princesse : ce fut la fête tous les jours … des orgies joyeuses… de création en création… ainsi elle aboutit à transformer son rêve en réalité !

 

 

Anaïs Nin une vrai petite magicienne, il faut l’admettre, und perle, généreuse, qui brillait aussi pour les autres… par amour ou simple intérêt à les étudier ! Sacrée petite femme la NIN. Livre sur livre sortait de sa plume légère mais circoncise… pointue, petite psychologue femelle au grand flair, petites narines aux grandes possibilités, flairant tout et en profondeur !

 

 

Elle et vraiment admirable et l’on a rien à lui pardonner… toujours la classe, pas comme son Jojo Henri Miller le brute épaisse pouculjatgrossier, non, elle avait une âme d’artiste, d’esthète, une âme de fleur (pardon pour la fleur, les femmes n’aiment guère cette comparaison), mais là, regardez-la, c’est quoi, selon vous ? Un cactus ? Non, cette une petite clochette de neige toute de dentelles noires vêtue!

 

 

C’est livres sont à recommander surtout aux jeunes filles ! oui il faut le dire, elles y apprendront beaucoup… et les mecs récalcitrants y découvrent un peu plus sur l’âme féminine… cela leur ferait pas de mal… bien qu’ils soient pas nés ni doués pour changer, les bougres ! Mais, peut- être, femme aime un peu le mec grossier ? … car femme est insondable et volage… elle s’adaptent à tout…pourvu qu’elle ait son plaisir ! Femme se parfume, se bichonne, se fait jolie à croquer, et effectivement pour finalement se faire perforer par une brute puante … qui passe… on a déjà tout vu sur terre, donc ; femme est instable, tout en mesurant les risques dans sa stabilité et jonglant avec ses charmes!

 

 

Elle a même raconté ses amour avec Henri, un livre audacieux pour les libidineux… page pour page… elle s’ouvre, elle progresse jusqu’au plaisir… la petite mort survenant un peu partout… sur une chaise (dont le bruit l’agaçait…) dans la cuisine… ou ailleurs… à découvrir vous-même !
Mais, elle raconte toujours dans les limites, jamais vulgaire vraiment le contraire de son sauteur, jamais elle tombe si bas pour n’être amortie que sur une fourrure… on la suit facilement !

 

Voilà, un peu circonscrit, la vie et les livres d’Anaïs NIN, et si vous passer à Louveciennes… visitez sa maison… qu’elle hante encore !

 

 

Anaïs NIN ( Angela, Anaïs, Juana, Antolina, Rosa, Edelmira NIN) née le 21 février 1903 à Neuilly-sur-Seine et morte le 14 janvier1977 à Los Angeles.

 

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La maison d’Anaïs NIN à Louveciennes!
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Œil von Lynx…Louvechiennes, le 18/02/2012