Café HOPPE - Amsterdam
Spui 18-20, 1011 AC Amsterdam05.01.2012
Café HOPPE
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Spui 18-20, Amsterdam Pays-Bas
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(AVIS :Français/Deutsch)
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BREF : Chez HOPPE un Café brun de tradition:
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Impossible de l’ignorer…on doit avoir été ici… have been !
Le vieux HOPPE, à droite, là, où on est encore debout où les cœurs se bousculent gentiment, les têtes serrées, les bras entremêlés, les jambes aussi, les lèvres goûtant un genièvre… ou une bonne bière… l’esprit en éveille… les pensées flânant… retour au temps à Vermeer et Franz Hals… Fumeurs notoires et responsables des dégâts causés ici dans ce Café Hoppe ! Les brunes des murs signés, par eux !
Les histoires des marins et leurs amours de marin ancre au bras fille nue au cœur!
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KURZ: Im Café HOPPE , dem Braunen Hoppe, dem wirklich traditionellem Hoppe, da steht man noch … um eine Café oder einen Genever zu schlürfen! Hier drücken sie sich Herz an Herz, stoßen sie sich gemütlich in die Seiten, heben das Glas und prosten sich zu… Hier, umgeben von den brauen Wänden und Decke, weil Franz Hals und Herr Vermeer wie die Lokomotiven qualmten… ja! Daher kommt die Tradition und heute sind sie stolz darauf, nie darf ein heller Pinselstrich neue Farbe bringen, das wäre eine Beleidigung!
Im Neuen Hoppe nebenan… darf man sich setzen und den radelnden Radler, die vorbeiflitzen, zuschauen… ein lustiges buntes Treiben, ein Moment innerer Zufriedenheit, in Amsterdam zu sein…
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Café HOPPE, das braune Café Hoppe !
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Und woher kommt diese Bezeichnung? Schon seit vor Christus?!
Weil seit jahrtausenden kein Pinselstrich die Wände und Decke erhellt hat, weil diese Bräune wie ein kostbarer Rembrandt geschützt und verehrt wird!
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Hier waren die Verantwortlichen, unserer bekannter Vermeerqualmer und der noch schlimmere notorische Pfeifenraucher Franz HALSRAUCHER, die die Cafés braun gequalmt haben!
Alte Tradition, welche hier überlebt hat, wie so vieles in Amsterdam und sicher ein wenig zum Glück dazu beiträgt, dort im Café wie „vorher“, oft stehend, sich schupsend, einen Café einzunehmen…
Der Raum muss dunkel braun bleiben, daran darf nicht gerührt werden, es wäre ein Frevel!
Also, ist Hoppe auch eines der bekanntesten Braunen Cafés von Amsterdam … Jung und alt erstürmen dieses Café, um dort einmal gewesen zu sein… zusammengerückte Menschlichkeit zu genießen!
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Früher roch es dort stark nach Cannabis, heute beißt man weniger zu!
Es gibt das alte und das neue Hoppe! Im Neuen ruhen sich die morschen Knochen aus, sitzen bequem und glotzen auf die belebte Strasse… gemütlich ihr Getränke schlürfend… ein Genièvre? Warum nicht?
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Draußen, ja draußen radeln natürlich die Schönheiten vorbei, zwitschern die Verliebten sich ins Ohr, klingeln die Fahrräder… aber gegen 17 Uhr wird es wird schnell dunkel… im Herbst… die Lichter gehen an… die Stadt taucht in eine warme orangenfarbige Beleuchtung…
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Vom Kirchturm lacht ein Glockenspiel in die Nacht … unter den kurzen Röcken wird’s heiß, und die langen Beine frieren auf den vorüber schnurrenden Fahrrädern!
Die Nacht mit ihren tiefen Träumen hat sie wieder… verschluckt sie alle…!
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Ciao HOPPE, et HOP auf und von dannen… bis zum nächsten Besuch!
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Chez HOPPE … un Café, une bière ou un genièvre, de la grande tradition!
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Et, bien sûr, vous entendrez ici aussi des histoires de marin et de leurs amours invraisemblables de marin ! Des oreilles avidement dressées, écoutant leurs histoires absolument incroyables ; tel vieux marin a égorgé une baleine d’une seule main, un autre a lutté âprement avec une pieuvre qui voulait lui voler sa pipe… et leurs amours s’étalant sur leurs biceps énormes, retenues par un ancre sur le derme !… pour pas… parce que femme est volage…veut goûter partout… HMM… veut nager dans les hautes vagues de plaisir, danser sur l’écume moussant pour s’étirer entre deux vagues de bonheur comme un chat…
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Ha… ils ont tout vu, eux, les marin Loups de mer !
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On serre les coudes ici chez HOPPE…une fois dedans on ne peut plus sortir… Hop… la chaleur vous aspire, vous ne lâche plus… doux est son baiser, franc sa morsure… au fond des ténèbres… qui meurtrie votre résistance… Tels… ils racontent le requin blanc…
Ça sent encore les cannabis… béatitude éphémère… le réveil les attend avec la massue…
Vous savez maintenant pourquoi !
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On boit de la bonne bière ici et le choix des genièvres et remarquable !
Entre 18 et 19 heures, c’est plein… on reste debout faute de place, et il faut lutter des coudes pour se frayer un chemin jusqu’au Bar !
C’est unique… il faut l’avoir vu…. ne serait-ce que par curiosité !
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J’ai rêvé des nuits entières de bicyclettes…des roues qui tournent… des jupes flottant, des genoux ronds… dieu qu’elles ont souvent de belles et longues jambes bien droites, bien proportionnées… une envie de les caresser… et …lentement remonter aux origines…… Vite un seaux d’eau sur la tête !
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Œil von Lynx Amsterdam…05/01/2012
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Spui 18-20, Amsterdam Pays-Bas
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(AVIS :Français/Deutsch)
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BREF : Chez HOPPE un Café brun de tradition:
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Impossible de l’ignorer…on doit avoir été ici… have been !
Le vieux HOPPE, à droite, là, où on est encore debout où les cœurs se bousculent gentiment, les têtes serrées, les bras entremêlés, les jambes aussi, les lèvres goûtant un genièvre… ou une bonne bière… l’esprit en éveille… les pensées flânant… retour au temps à Vermeer et Franz Hals… Fumeurs notoires et responsables des dégâts causés ici dans ce Café Hoppe ! Les brunes des murs signés, par eux !
Les histoires des marins et leurs amours de marin ancre au bras fille nue au cœur!
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KURZ: Im Café HOPPE , dem Braunen Hoppe, dem wirklich traditionellem Hoppe, da steht man noch … um eine Café oder einen Genever zu schlürfen! Hier drücken sie sich Herz an Herz, stoßen sie sich gemütlich in die Seiten, heben das Glas und prosten sich zu… Hier, umgeben von den brauen Wänden und Decke, weil Franz Hals und Herr Vermeer wie die Lokomotiven qualmten… ja! Daher kommt die Tradition und heute sind sie stolz darauf, nie darf ein heller Pinselstrich neue Farbe bringen, das wäre eine Beleidigung!
Im Neuen Hoppe nebenan… darf man sich setzen und den radelnden Radler, die vorbeiflitzen, zuschauen… ein lustiges buntes Treiben, ein Moment innerer Zufriedenheit, in Amsterdam zu sein…
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Café HOPPE, das braune Café Hoppe !
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Und woher kommt diese Bezeichnung? Schon seit vor Christus?!
Weil seit jahrtausenden kein Pinselstrich die Wände und Decke erhellt hat, weil diese Bräune wie ein kostbarer Rembrandt geschützt und verehrt wird!
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Hier waren die Verantwortlichen, unserer bekannter Vermeerqualmer und der noch schlimmere notorische Pfeifenraucher Franz HALSRAUCHER, die die Cafés braun gequalmt haben!
Alte Tradition, welche hier überlebt hat, wie so vieles in Amsterdam und sicher ein wenig zum Glück dazu beiträgt, dort im Café wie „vorher“, oft stehend, sich schupsend, einen Café einzunehmen…
Der Raum muss dunkel braun bleiben, daran darf nicht gerührt werden, es wäre ein Frevel!
Also, ist Hoppe auch eines der bekanntesten Braunen Cafés von Amsterdam … Jung und alt erstürmen dieses Café, um dort einmal gewesen zu sein… zusammengerückte Menschlichkeit zu genießen!
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Früher roch es dort stark nach Cannabis, heute beißt man weniger zu!
Es gibt das alte und das neue Hoppe! Im Neuen ruhen sich die morschen Knochen aus, sitzen bequem und glotzen auf die belebte Strasse… gemütlich ihr Getränke schlürfend… ein Genièvre? Warum nicht?
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Draußen, ja draußen radeln natürlich die Schönheiten vorbei, zwitschern die Verliebten sich ins Ohr, klingeln die Fahrräder… aber gegen 17 Uhr wird es wird schnell dunkel… im Herbst… die Lichter gehen an… die Stadt taucht in eine warme orangenfarbige Beleuchtung…
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Vom Kirchturm lacht ein Glockenspiel in die Nacht … unter den kurzen Röcken wird’s heiß, und die langen Beine frieren auf den vorüber schnurrenden Fahrrädern!
Die Nacht mit ihren tiefen Träumen hat sie wieder… verschluckt sie alle…!
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Ciao HOPPE, et HOP auf und von dannen… bis zum nächsten Besuch!
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Chez HOPPE … un Café, une bière ou un genièvre, de la grande tradition!
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Et, bien sûr, vous entendrez ici aussi des histoires de marin et de leurs amours invraisemblables de marin ! Des oreilles avidement dressées, écoutant leurs histoires absolument incroyables ; tel vieux marin a égorgé une baleine d’une seule main, un autre a lutté âprement avec une pieuvre qui voulait lui voler sa pipe… et leurs amours s’étalant sur leurs biceps énormes, retenues par un ancre sur le derme !… pour pas… parce que femme est volage…veut goûter partout… HMM… veut nager dans les hautes vagues de plaisir, danser sur l’écume moussant pour s’étirer entre deux vagues de bonheur comme un chat…
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Ha… ils ont tout vu, eux, les marin Loups de mer !
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On serre les coudes ici chez HOPPE…une fois dedans on ne peut plus sortir… Hop… la chaleur vous aspire, vous ne lâche plus… doux est son baiser, franc sa morsure… au fond des ténèbres… qui meurtrie votre résistance… Tels… ils racontent le requin blanc…
Ça sent encore les cannabis… béatitude éphémère… le réveil les attend avec la massue…
Vous savez maintenant pourquoi !
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On boit de la bonne bière ici et le choix des genièvres et remarquable !
Entre 18 et 19 heures, c’est plein… on reste debout faute de place, et il faut lutter des coudes pour se frayer un chemin jusqu’au Bar !
C’est unique… il faut l’avoir vu…. ne serait-ce que par curiosité !
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J’ai rêvé des nuits entières de bicyclettes…des roues qui tournent… des jupes flottant, des genoux ronds… dieu qu’elles ont souvent de belles et longues jambes bien droites, bien proportionnées… une envie de les caresser… et …lentement remonter aux origines…… Vite un seaux d’eau sur la tête !
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Œil von Lynx Amsterdam…05/01/2012
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