Le Passage Choiseul Nr. 64 - Paris - Paris
64 Passage Choiseul, 75002 Paris18.04.2012 (mis à jour le 20.04.2012)
Le Passage Choiseul Nr. 64 – Paris
75002 Paris
Le Passage et ses secrets….
Le Passage Choiseul fut construit entre 1825 et 1827 par l’architecte François Mazois puis après sa mort terminé par Antoine Tavernier.
Il commence à tomber en désuétude lors de la construction des grands magasins à proximité de l’Opéra et de la Madeleine, plus fréquentés. Ensuite dans les années 1970, lorsque le créateur de mode Kenzo s’y installe, le passage connut un nouveau mais bref attrait…et retomba en oublie ! Avec ses presque 200 mètres de longueur, il est l’un des plus longs de Paris ! Le célèbre théâtre des Bouffes parisiens qui se trouve derrière avait une sortie de secours donnant dans le passage.
Il possède même un passé littéraire, avec Alphonse Lemerre, l’éditeur des poèmes Parnassiens au nr. 23… Louis-Ferdinand Céline y vécut enfant de 1899 à 1907 au Nr. 67 puis renommé 64 où ses parent tenaient une boutique de « Nouveautés », dans son livre « Mort à crédit » il immortalisa le passage dans sa décrépitude en 1936 sous le nom de « Passage des Bérésinas » !
Vous trouverez le passage Choiseul dans le IIe arrondissement, entre la rue des Petits-Champs au sud et la rue Saint -Augustin au nord, formant le prolongement de la rue de Choiseul, d’où son nom.
Le Passage Choiseul, à première vue désuet, regorge de réminiscences entre la lumière et l’ombre qui l’habitent…
Une silhouette au contre jour … un fantôme, un revenant, c’est un mystère, fort unbekannt, und doch denkt man an diesen Mann, der dort gewohnt… dans sa jeunesse, où il a grandi chez ses parents.
La boutique est toujours là, aujourd’hui, une mercerie, au numéro soixantequatre, sans un nom, sans une plaque, rien, nichts erinnert an diesen écrivain, le plus celèbre nach Marcel Proust !
Man liest und hasst ihn gleichermaßen, aus tiefer Brust; man klagt ihn an aus Hass und Lust… die Spur verwischt aus den Gedanken… le cri d’une conscience…
Wenn die Schatten wanken und die Menschen schwanken…
Le passage Choiseul est le passage de Céline, le passage funeste pour beaucoup, moins pour d’autres… les deux attitudes méritent que l’on s’attarde sur cette vérité blessante. Tous lisent son œuvre, tous le nient ou le dénient, ce deuxième écrivain, pur produit francais, lu après Marcel Proust , Céline, celui qui avait la langue vénimeuse et outrageusement pendue, eut le tort de coucher sur papier des monstruosités qui trottinaient dans beaucoup de têtes… Le passage Choiseul-Céline… là où tout a commencé, et après des âpres périples, pour finir d’être oublié dans une maison à Meudon!
La haine qu’on lui voue est incommensurable, et on la voue aussi à beaucoup d’autres et à vie ; compréhensible, rien ne s’oublie jamais, mais la tartufferie n’en plus… comme la mauvais foi…
Le monstre a respiré et écrit encore longtemps, très fécond, il a pondu livre sur livre, que l’on s’arracha quand même, et sur lequel on crache … et malgré la haine, malgré les condamnations, malgré tout et contre vent et marées, le Passage Choiseul a connu un petit garçon qui avait la chance d’etre touché par le génie littéraire, et le temps, malgré cette haine qu’on lui porte, a reconnu son talent,… et des mains traitres l’ont acheté et lu…
C’est Ferdinand Destouches alias Céline,
Le mal aimé
Le bien haï
Ce gribouilleur
De génie…
Ferdinand Céline a écrit des pages somptueuses et il n’y a qu’un crétin qui pourrait dire le contraire… mais la haine est tenace et nourrissante… oui, la haine nourrit, c’est bien connu … parfois substantielle, solide, bien entretenue et épicée, c’est encore mieux… la preuve !
Seul d’en haut vient encore de la lumière…
Vous aimez ou vous haïssez cet homme … Il va falloir que vous reconnaissiez qu’il avait du génie… et personne ne s’est trompé. Ni l’histoire ni ses détracteurs et ennemis… qui l’ont tous lu, forcément, ça les concerne,… on veut savoir d’où le vent souffle… et de quelle force ! Même ceux qui crachent toujours sur sa tombe.
Les Pamphlets… absolument condamnables ! Und histoire épouvantable qu’à connue l’humanité. Bien d’autres ont emis des paroles de haine, hélas, sans être inquiétés… Il n’est plus besoin de mentionner ici leurs noms… ils sont bien connus dans le monde littéraire…
Aucune importance, car tout s’arrêtera un jour… Rideau, pas de ménagement pour les Tartuffes… D’ailleurs, la la dièses… tombe les attend tous !
Ferdinand Destouches, dit Céline, votre énigme mal-aimé(e)…
Petite réflexion du jour… au MENU :
« Voyage au bout de la nuit » …parfaitement méconnu par les crétins de critiques… comme d’habitude ! Il avait raison de les traiter durement ! Le temps lui a donné raison, c’est un chef- d’œuvre… pourtant…
Et subitement « les pamphlets » … un cri de vengeance ou de folie contre et envers tous ? Absolument condamnable !
Viennent « Les Bagatelles ». Abominable accusation… comment était-ce possible ? Lui, *Ferdinand Céline, d’une lucidité sans pareille, un venin atroce dont il remplît sa plume… que se passe-t-il dans cet homme ? Délire-t-il ?
Quand les ombres deviennent grises…le contraste s’évanouit!
On comprend qu’on n’ait pas à aimer quelqu’un, mais de là… à lui souhaiter la mort… ce n’est plus exagérer, c’est déjà un crime, c’est délirer, pourtant… Ferdinand a toujours aidé les hommes en tant que médecin… tous, il les a soignés et aidés d’une façon ou d’une autre… sans distinction, sans exception ! Alors d’où venaient ses paroles crachées, cette haine innommable ? D’où sortaient-elles ? Mystère ! Incompréhensible… encore aujourd’hui !
Tenez… « Normance »… le chef-d’œuvre absolu… encore un ! 200 pages sublimes… jubilatoires, tragiques, sous les bombes !…. Personne d’autre que Ferdinand Destouches-Céline n’aurait su décrire les émotions ressenties pendant cette « féerie » !
Des vitrines pleines de secrets dans une demi obscurité…
Céline l’incompréhensible, l’intraitable… ou fût-ce à dessin ? Qui sait ? Aujourd’hui, ses écrits, presque sombrés en désuétudes ?… sous les apparences seulement !… Ils ont laissé des traces amères, et pourtant provoquent le contraire… grave… pourquoi ? Tous ceux qui l’ont lu ne contestent point son génie littéraire… son écriture, mais se sentent concernés, car l’histoire, c’est eux, c’est l’homme, et l’homme connaît la honte ! N’oubliez pas, deuxième vente après Marcel Proust.
Comment cela se fait que vous ne trouverez jamais un livre de Céline au marché aux puces, ou en occasion à la brocante…vous trouverez tout… sauf lui ! Savez pas pourquoi ? Faux jetons, Tartuffes !
Au dessus de la boutique… les étages d’habitations pour la famille… la petite fenêtre.
Qui le lit ? TOUS sans exception ! tous, je vous dis… tous ils nient, connaissent pas, toucheraient pas une page de ce monstre immonde et enragé !… Tous, ils l’ont dans leur bibliothèque !
On vend Les Bagatelles pièce 300Euros …
C’est monstrueux ! Presque en loques… par Internet, la gentille Vierge-Innocente! Vous avez bien lu ! Edition rare, d’antan… pas réimprimée… non parce que ce serait interdit, non… l’éditeur a peur, a de la pudeur ! Normal ! Et cela vaut mieux!
Le Passage Choiseul … la paix y règne… maintenant! Des magasins, petits Restaurants, un imprimeur… tous continuent à vivre… et souvent ignorent leur histoire.
Rien n’y fait … il est génial… dans son écriture. Ils admettent… malgré eux…; Alors… faut-il faire abstraction du monstre ? Certainement. Tartuffes, ne soyez pas dupe de la belle humanité, de l’homme… regardez autour de vous… les preuves accablantes ne manquent point ! Tous les JOURS … on étripe des innocents… on massacre… jamais cessé… nous vivons dans un monde de feu et de larmes depuis toujours, pauvres aveuglons ! Mais soyez vigilant et n’oubliez jamais !
Ha !.. inutile d’énumérer ici les autres œuvres de ce talent pourri et haï, vous les connaissez… Biglez sur vos propres étagères livresques et de Schrott !…ne vous brûlez pas les doigts!
N’est-ce pas Monsieur ?…comment déjà ?… votre nom ?
Philif Tartu…. Félicitations, Monsieur Tartu !
Céline sous les bombes :Brramg traom Vromg Brrraoumm !
Dzim Vouaf ! vrrrohum ! vrrr vrrr Braoum : brng !
Les mitrailleuses: Bzim Bzim
La DCA; Wouaf Wouaf!
Plof et flaouf ! Pflouaf brroum ! Brang et broum ! Bramg
traom !Bvromb !
à l’hôtel Drouot aux ventes aux enchères…. Incroyable mais vrai !
Et le Passage Choiseul… encore sombre et très seul à Paris, qui attend sa restauration promise… sous peu… peut-être que l’on pourra le voir sous un autre éclairage bientôt?!
Alors que voulez-vous faire ? Il va falloir prendre position, malgré vous ! Sûr ! Face à votre conscience et dans vos beaux draps ! Je vous laisse dedans, je ne suis pas venu laver du linge sale… non !
Il y a le pressing en face… Allez-y !
Sur la haine on ne peut bâtir que de la haine … il y a même des chasseurs de haine; Victime et bourreau confondus ! Épargnez-nous les belles paroles…
Ainsi sprach Oh! ZARA versuchsdochmal !
L’entrée du Passage, que l’on peut aussi traverser… sans regarder, sans penser… cela vous arrive-t-il ?
Et puis, Ferdinand Céline, il est mort… tout simplement ; Enterré au Cimetière de Meudon avec Bébert et Lilli et Flûte et Bessy… et ses trois petits points…
Sortons du Passage Choiseul, nous n’avons plus de larmes pour pleurer… alors…
Buvons du Champagne, allons manger, faisons la fête, pour un avenir plus radieux ! Et… sans rancune pour le monde, la vie, ses joies et ses malheurs… que pouvons nous demander de plus, pauvres humains indécrottables ?
Pour vous réconcilier avec le monde….
Œil von Lynx – Paris 18/04/2012
75002 Paris
Le Passage et ses secrets….
Le Passage Choiseul fut construit entre 1825 et 1827 par l’architecte François Mazois puis après sa mort terminé par Antoine Tavernier.
Il commence à tomber en désuétude lors de la construction des grands magasins à proximité de l’Opéra et de la Madeleine, plus fréquentés. Ensuite dans les années 1970, lorsque le créateur de mode Kenzo s’y installe, le passage connut un nouveau mais bref attrait…et retomba en oublie ! Avec ses presque 200 mètres de longueur, il est l’un des plus longs de Paris ! Le célèbre théâtre des Bouffes parisiens qui se trouve derrière avait une sortie de secours donnant dans le passage.
Il possède même un passé littéraire, avec Alphonse Lemerre, l’éditeur des poèmes Parnassiens au nr. 23… Louis-Ferdinand Céline y vécut enfant de 1899 à 1907 au Nr. 67 puis renommé 64 où ses parent tenaient une boutique de « Nouveautés », dans son livre « Mort à crédit » il immortalisa le passage dans sa décrépitude en 1936 sous le nom de « Passage des Bérésinas » !
Vous trouverez le passage Choiseul dans le IIe arrondissement, entre la rue des Petits-Champs au sud et la rue Saint -Augustin au nord, formant le prolongement de la rue de Choiseul, d’où son nom.
Le Passage Choiseul, à première vue désuet, regorge de réminiscences entre la lumière et l’ombre qui l’habitent…
Une silhouette au contre jour … un fantôme, un revenant, c’est un mystère, fort unbekannt, und doch denkt man an diesen Mann, der dort gewohnt… dans sa jeunesse, où il a grandi chez ses parents.
La boutique est toujours là, aujourd’hui, une mercerie, au numéro soixantequatre, sans un nom, sans une plaque, rien, nichts erinnert an diesen écrivain, le plus celèbre nach Marcel Proust !
Man liest und hasst ihn gleichermaßen, aus tiefer Brust; man klagt ihn an aus Hass und Lust… die Spur verwischt aus den Gedanken… le cri d’une conscience…
Wenn die Schatten wanken und die Menschen schwanken…
Le passage Choiseul est le passage de Céline, le passage funeste pour beaucoup, moins pour d’autres… les deux attitudes méritent que l’on s’attarde sur cette vérité blessante. Tous lisent son œuvre, tous le nient ou le dénient, ce deuxième écrivain, pur produit francais, lu après Marcel Proust , Céline, celui qui avait la langue vénimeuse et outrageusement pendue, eut le tort de coucher sur papier des monstruosités qui trottinaient dans beaucoup de têtes… Le passage Choiseul-Céline… là où tout a commencé, et après des âpres périples, pour finir d’être oublié dans une maison à Meudon!
La haine qu’on lui voue est incommensurable, et on la voue aussi à beaucoup d’autres et à vie ; compréhensible, rien ne s’oublie jamais, mais la tartufferie n’en plus… comme la mauvais foi…
Le monstre a respiré et écrit encore longtemps, très fécond, il a pondu livre sur livre, que l’on s’arracha quand même, et sur lequel on crache … et malgré la haine, malgré les condamnations, malgré tout et contre vent et marées, le Passage Choiseul a connu un petit garçon qui avait la chance d’etre touché par le génie littéraire, et le temps, malgré cette haine qu’on lui porte, a reconnu son talent,… et des mains traitres l’ont acheté et lu…
C’est Ferdinand Destouches alias Céline,
Le mal aimé
Le bien haï
Ce gribouilleur
De génie…
Ferdinand Céline a écrit des pages somptueuses et il n’y a qu’un crétin qui pourrait dire le contraire… mais la haine est tenace et nourrissante… oui, la haine nourrit, c’est bien connu … parfois substantielle, solide, bien entretenue et épicée, c’est encore mieux… la preuve !
Seul d’en haut vient encore de la lumière…
Vous aimez ou vous haïssez cet homme … Il va falloir que vous reconnaissiez qu’il avait du génie… et personne ne s’est trompé. Ni l’histoire ni ses détracteurs et ennemis… qui l’ont tous lu, forcément, ça les concerne,… on veut savoir d’où le vent souffle… et de quelle force ! Même ceux qui crachent toujours sur sa tombe.
Les Pamphlets… absolument condamnables ! Und histoire épouvantable qu’à connue l’humanité. Bien d’autres ont emis des paroles de haine, hélas, sans être inquiétés… Il n’est plus besoin de mentionner ici leurs noms… ils sont bien connus dans le monde littéraire…
Aucune importance, car tout s’arrêtera un jour… Rideau, pas de ménagement pour les Tartuffes… D’ailleurs, la la dièses… tombe les attend tous !
Ferdinand Destouches, dit Céline, votre énigme mal-aimé(e)…
Petite réflexion du jour… au MENU :
« Voyage au bout de la nuit » …parfaitement méconnu par les crétins de critiques… comme d’habitude ! Il avait raison de les traiter durement ! Le temps lui a donné raison, c’est un chef- d’œuvre… pourtant…
Et subitement « les pamphlets » … un cri de vengeance ou de folie contre et envers tous ? Absolument condamnable !
Viennent « Les Bagatelles ». Abominable accusation… comment était-ce possible ? Lui, *Ferdinand Céline, d’une lucidité sans pareille, un venin atroce dont il remplît sa plume… que se passe-t-il dans cet homme ? Délire-t-il ?
Quand les ombres deviennent grises…le contraste s’évanouit!
On comprend qu’on n’ait pas à aimer quelqu’un, mais de là… à lui souhaiter la mort… ce n’est plus exagérer, c’est déjà un crime, c’est délirer, pourtant… Ferdinand a toujours aidé les hommes en tant que médecin… tous, il les a soignés et aidés d’une façon ou d’une autre… sans distinction, sans exception ! Alors d’où venaient ses paroles crachées, cette haine innommable ? D’où sortaient-elles ? Mystère ! Incompréhensible… encore aujourd’hui !
Tenez… « Normance »… le chef-d’œuvre absolu… encore un ! 200 pages sublimes… jubilatoires, tragiques, sous les bombes !…. Personne d’autre que Ferdinand Destouches-Céline n’aurait su décrire les émotions ressenties pendant cette « féerie » !
Des vitrines pleines de secrets dans une demi obscurité…
Céline l’incompréhensible, l’intraitable… ou fût-ce à dessin ? Qui sait ? Aujourd’hui, ses écrits, presque sombrés en désuétudes ?… sous les apparences seulement !… Ils ont laissé des traces amères, et pourtant provoquent le contraire… grave… pourquoi ? Tous ceux qui l’ont lu ne contestent point son génie littéraire… son écriture, mais se sentent concernés, car l’histoire, c’est eux, c’est l’homme, et l’homme connaît la honte ! N’oubliez pas, deuxième vente après Marcel Proust.
Comment cela se fait que vous ne trouverez jamais un livre de Céline au marché aux puces, ou en occasion à la brocante…vous trouverez tout… sauf lui ! Savez pas pourquoi ? Faux jetons, Tartuffes !
Au dessus de la boutique… les étages d’habitations pour la famille… la petite fenêtre.
Qui le lit ? TOUS sans exception ! tous, je vous dis… tous ils nient, connaissent pas, toucheraient pas une page de ce monstre immonde et enragé !… Tous, ils l’ont dans leur bibliothèque !
On vend Les Bagatelles pièce 300Euros …
C’est monstrueux ! Presque en loques… par Internet, la gentille Vierge-Innocente! Vous avez bien lu ! Edition rare, d’antan… pas réimprimée… non parce que ce serait interdit, non… l’éditeur a peur, a de la pudeur ! Normal ! Et cela vaut mieux!
Le Passage Choiseul … la paix y règne… maintenant! Des magasins, petits Restaurants, un imprimeur… tous continuent à vivre… et souvent ignorent leur histoire.
Rien n’y fait … il est génial… dans son écriture. Ils admettent… malgré eux…; Alors… faut-il faire abstraction du monstre ? Certainement. Tartuffes, ne soyez pas dupe de la belle humanité, de l’homme… regardez autour de vous… les preuves accablantes ne manquent point ! Tous les JOURS … on étripe des innocents… on massacre… jamais cessé… nous vivons dans un monde de feu et de larmes depuis toujours, pauvres aveuglons ! Mais soyez vigilant et n’oubliez jamais !
Ha !.. inutile d’énumérer ici les autres œuvres de ce talent pourri et haï, vous les connaissez… Biglez sur vos propres étagères livresques et de Schrott !…ne vous brûlez pas les doigts!
N’est-ce pas Monsieur ?…comment déjà ?… votre nom ?
Philif Tartu…. Félicitations, Monsieur Tartu !
Céline sous les bombes :Brramg traom Vromg Brrraoumm !
Dzim Vouaf ! vrrrohum ! vrrr vrrr Braoum : brng !
Les mitrailleuses: Bzim Bzim
La DCA; Wouaf Wouaf!
Plof et flaouf ! Pflouaf brroum ! Brang et broum ! Bramg
traom !Bvromb !
à l’hôtel Drouot aux ventes aux enchères…. Incroyable mais vrai !
Et le Passage Choiseul… encore sombre et très seul à Paris, qui attend sa restauration promise… sous peu… peut-être que l’on pourra le voir sous un autre éclairage bientôt?!
Alors que voulez-vous faire ? Il va falloir prendre position, malgré vous ! Sûr ! Face à votre conscience et dans vos beaux draps ! Je vous laisse dedans, je ne suis pas venu laver du linge sale… non !
Il y a le pressing en face… Allez-y !
Sur la haine on ne peut bâtir que de la haine … il y a même des chasseurs de haine; Victime et bourreau confondus ! Épargnez-nous les belles paroles…
Ainsi sprach Oh! ZARA versuchsdochmal !
L’entrée du Passage, que l’on peut aussi traverser… sans regarder, sans penser… cela vous arrive-t-il ?
Et puis, Ferdinand Céline, il est mort… tout simplement ; Enterré au Cimetière de Meudon avec Bébert et Lilli et Flûte et Bessy… et ses trois petits points…
Sortons du Passage Choiseul, nous n’avons plus de larmes pour pleurer… alors…
Buvons du Champagne, allons manger, faisons la fête, pour un avenir plus radieux ! Et… sans rancune pour le monde, la vie, ses joies et ses malheurs… que pouvons nous demander de plus, pauvres humains indécrottables ?
Pour vous réconcilier avec le monde….
Œil von Lynx – Paris 18/04/2012
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