jeudi 15 novembre 2012

DELFT- une ville en faïence… - Delft


DELFT- une ville en faïence… - Delft

2600 Delft
21.01.2012

DELFT- une ville en faïence…
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(AVIS ; Français/Deutsch)
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Une petite ville dont émane un charme d’intemporalité, peut-être à cause de la peinture de Vermeer qui est né ici en 1632 ? Possible.
Alors, suivez sa palette aux touches délicates dans ce paysage subtiles et intime…

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La célèbre faïence de Delft
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est produite par les manufactures hollandaises de la région de Delft à partir du XVIIe siècle, l’âge d’or hollandais … de 1640 à 1740 environ,… connues pour leur finesse et la qualité de leur émaillage…
Pourtant cette céramique si fine mais opaque était en réalité de la faïence, on ne disposait pas du « kaolin » pour fabriquer de véritable porcelaine ; une technique introduite par les italiens donc les céramiste hollandais savaient profiter pour reproduire les céramiques chinoises importées depuis 1602 par la Compagnie des Indes ; Les faïences blanches à décor bleu, appelé Bleu de Delft, sont les plus connues… à l’aspect de chinoiseries…
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Elle ne résistera pas, impossible, déjà tous ses sens sont finement en alerte, ses yeux embrassent voluptueusement l’objet de ses désirs de son intime convoitise… ses narines palpitent comme un papillon en transe… elle le sent !… elle se transforme en Elf, voici qu’elle tient dans la main de Delft, une porcelaine si fine, si bleue et blanche… de bonheur elle roule déjà ses hanches, s’approche tout près, lui tâte la peau, ses veines marbrées et ciselées…
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Cette femme est déjà enchantée ! Le dessin l’envoûte sans un mot, ses doigts le palpent à fleur de peau ! Comme c’est gracieux, elle n’en peut plus… elle va me traire, me ruiner, ma main se porte sur ma bourse, son sourire me délivre de mon flouze !
L’objet précieux est emballé!… la note réglée, son rouge à lèvres retiré… « Tu peux le tenir un instant ? » … me flûte-elle fine… va… le porteur fera toujours bonne mine… lach !
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Für andere Augen ;
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Feines Porzellan von Delft … so blau und weiß… da weiden sich vor Verzückung die Augen des Weibchens, feucht wird es unter den Lidern, Freudentränen schießen hervor… es blitzt und funkelt… PORZELLAN!
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Hat sie gesehen! Das kann Mann verstehen! Ihre Blicke tasten sich sanft und noch unschuldig an das kostbare Geschirr heran, bleiben an den hübschen Motiven kleben… lösen sich und wandern weiter… schon weniger unschuldig, schon verführt… weiter; Teller, Schalen, Töpfchen… ungeahnte Formen verzaubern ihren Blick, die Augen sind feucht vor Freude und Bewunderung!


Sie verzaubern ihren Blick ,… meiner Dame… langsam, und behutsam streckt sie ihre Hand vor… schon hält sie eine kleine hübsche Vase, blau und weiß, in der Hand und dreht sie wie eine Gebetsmühle vor ihren verträumten Augen…
Meine Hand zuckt zur Börse… die immer dünner wird!




DELFT- Porzellan… da kommt kein Weibchen dran vorbei… die Versuchung ist zu groß!.



Da vergisst sie Mann und Liebe!… bis sie vor der Kasse steht; Plötzlich besinnt sie sich meiner; „Ist das nicht ein wunderbares Stück? Schatz?“ der Schatz lächelt wie eine leere Börse! Na, immer großzügig gewesen, kann man ihnen etwas versagen?… und wer schleppt das Zeug nach Hause?
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Oeil von Lynx, das Opfer von Delft , 22/01/2012

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