Parque de Maria Luisa - Sur
Sevilla 28.06.2010 (mis à jour le 30.06.2010)
À Sevilla, au Jardin Marie-Luisa.
À l’ombre d’un jardin,
À Sevilla, le matin.
Trois charmantes Sévillanes,
Au goût de belles et nobles Dames,
D’une attitude séduisante
Avec des robes virevoltantes,
Se prélassant autour d’un arbre,
N’étaient sûrement pas de marbre !
Tenant le cœur dans la main,
Un goût de sangria dans les veines,
Elles exhalent le bonheur.
À Don JUAN… les sueurs !
Devant ces beautés épanchées,
Et, je vous dis la vérité,
Il a le cœur transporté ;
Leur regard qui l’inspire,
Ce joli sein, il le désire,
Ce rire aux lèvres
Lui monte la fièvre,
Le geste gracieux,
Puis, débonnaire,
Comme seules les femmes
Savent le faire
À Sevilla, le matin.
Trois charmantes Sévillanes,
Au goût de belles et nobles Dames,
D’une attitude séduisante
Avec des robes virevoltantes,
Se prélassant autour d’un arbre,
N’étaient sûrement pas de marbre !
Tenant le cœur dans la main,
Un goût de sangria dans les veines,
Elles exhalent le bonheur.
À Don JUAN… les sueurs !
Devant ces beautés épanchées,
Et, je vous dis la vérité,
Il a le cœur transporté ;
Leur regard qui l’inspire,
Ce joli sein, il le désire,
Ce rire aux lèvres
Lui monte la fièvre,
Le geste gracieux,
Puis, débonnaire,
Comme seules les femmes
Savent le faire
Au Parc,
Icarebonisées
Sont ses ailes,
D’avoir approché
Le soleil.
L’ange déchu,
C’est CUPIDON,
Poignardé
Et mourant.
Icarebonisées
Sont ses ailes,
D’avoir approché
Le soleil.
L’ange déchu,
C’est CUPIDON,
Poignardé
Et mourant.
Tragique, la vie ?
Partout.
Ailleurs.
Ici.
Partout.
Ailleurs.
Ici.
Depuis la Grèce,
Les plus grandes
Tragédies vécues,
Nous ont toujours
Fort émues.
Immortalisées,
Elles sont,
Et
De marbre
Elles resteront.
Les plus grandes
Tragédies vécues,
Nous ont toujours
Fort émues.
Immortalisées,
Elles sont,
Et
De marbre
Elles resteront.
Vu à Sevilla, Andalousie
D’Oeil von Lynx - Sevilla mai 2010
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