Fondation Henri Cartier Bresson - Pernety
2 Impasse Lebouis, 75014 Paris17.02.2010 (mis à jour le 05.04.2010)
Exposition de Photographies de Robert Doisneau
Vous pensez le connaître, vous avez tort. En s’attardant devant ses images, icônes célèbres, visions éphémères, et pourtant fixées à jamais, dont chacune révèle à l’observateur attentif sa particularité, raconte une histoire, regorgeant de richesse, effleure son âme avec une sensibilité accrue, démontrant, que même la laideur ou la misère, porte encore une beauté, fière, tragique, celle-là, comme peut-être un destin, la vie, tout simplement, telle qu’elle se manifeste, telle qu’elle est capable de s’incarner.
Le bonheur dans un rayon de soleil, ou le contraire, chargé de sourdes douleurs que soulignent ses ombres, noires, contrastées, comme pour mieux les exorciser !
Noir et Blanc, où l’absence de la couleur grave définitivement l’expression dans sa pureté, presque immaculé. Dans une cruelle pureté, à laquelle nous ne sommes plus habituée.
Sans compromis. L’image est forgée, gravée au burin, travaillée comme le soc ouvre la terre, ensemencée et fécondée.
Voilà les ingrédients d’où naissent beauté et félicité.
Robert Doisneau, graveur, dessinateur et photographe, enfin, de son œil de maître, a su anticiper l’événement, et c’est là, que réside tout son génie, non exempte de travail acharné, bien sûr, de discipline et d’un savoir faire technique et surtout, d’une connaissance de la synthèse, afin d’exclure tout superflu, de cadrer l’essentiel, ce qui est important à montrer, à dire, à évoquer. Et ce qui ne se voit pas que l’on doit deviner. À chacun de découvrir les méandres de la vie.
Robert Doisneau, l’observateur impitoyable, sachant décortiquer, interpréter les signes, les mouvances derrière le miroir.
Superbe démonstration ! Et, elle mérite notre considération. Un exemple, à redécouvrir, pour tous ceux qui se passionnent pour la photographie !
À genoux incrédules, faites vos ablutions, rincez vos yeux emboués, vous qui vous targuez d’être photographe. Inclinez-vous et apprenez. Et, sans rancune.
Oeil von Lynx - Paris 2010
Vous pensez le connaître, vous avez tort. En s’attardant devant ses images, icônes célèbres, visions éphémères, et pourtant fixées à jamais, dont chacune révèle à l’observateur attentif sa particularité, raconte une histoire, regorgeant de richesse, effleure son âme avec une sensibilité accrue, démontrant, que même la laideur ou la misère, porte encore une beauté, fière, tragique, celle-là, comme peut-être un destin, la vie, tout simplement, telle qu’elle se manifeste, telle qu’elle est capable de s’incarner.
Le bonheur dans un rayon de soleil, ou le contraire, chargé de sourdes douleurs que soulignent ses ombres, noires, contrastées, comme pour mieux les exorciser !
Noir et Blanc, où l’absence de la couleur grave définitivement l’expression dans sa pureté, presque immaculé. Dans une cruelle pureté, à laquelle nous ne sommes plus habituée.
Sans compromis. L’image est forgée, gravée au burin, travaillée comme le soc ouvre la terre, ensemencée et fécondée.
Voilà les ingrédients d’où naissent beauté et félicité.
Robert Doisneau, graveur, dessinateur et photographe, enfin, de son œil de maître, a su anticiper l’événement, et c’est là, que réside tout son génie, non exempte de travail acharné, bien sûr, de discipline et d’un savoir faire technique et surtout, d’une connaissance de la synthèse, afin d’exclure tout superflu, de cadrer l’essentiel, ce qui est important à montrer, à dire, à évoquer. Et ce qui ne se voit pas que l’on doit deviner. À chacun de découvrir les méandres de la vie.
Robert Doisneau, l’observateur impitoyable, sachant décortiquer, interpréter les signes, les mouvances derrière le miroir.
Superbe démonstration ! Et, elle mérite notre considération. Un exemple, à redécouvrir, pour tous ceux qui se passionnent pour la photographie !
À genoux incrédules, faites vos ablutions, rincez vos yeux emboués, vous qui vous targuez d’être photographe. Inclinez-vous et apprenez. Et, sans rancune.
Oeil von Lynx - Paris 2010
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