Le COCHON de Gaza - Palestine - Gaza
Ġazzah11.11.2011
Le COCHON de Gaza – Gaza Palestine
(AVIS : Français/Deutsch)
Le film…
Dans un paysage pétri d’humanité en souffrance où le réalisme finit par prendre le visage d’une fable… devient onirique… et à l’insu des préjugés existants, des femmes et des hommes voguent à leurs occupations respectives… malgré tout.
avec Sasson Gabay et son cochon
Des deux peuples , des êtres blessés, qui se regardent avec la peur de l’inconnu dans l’âme, qu’il va falloir franchir un jour… jusqu’à ce que l’absurde et la dérision l’emportent… ultime défense d’apparence… impuissante de résoudre les problèmes de cohabitation, mais déjà une attente convergente vers l’espoir !
Nous sommes en Palestine pour vivre une jolie histoire, pas exempte de drame… sous-jacent, couverte par une comédie finement ficelée… absurde mais drôlement comique… ça aide !
LUI, il s’appelle Jafaa, il est pêcheur… le plus malhabile que l’on puisse s’imaginer… à pleurer de rage… car dans ses filets qu’il ramène, ça ne regorge que de boites de conserves et de baskets pourries jetées à la mer… et d’autres détritus… à part quelque menus poissons ridicules. C’est la honte sur son étal de marché… à côté des captures généreuses de ses confrères plus habiles au filet !
Jafaa et sa femme habitent une modeste maison, si l’on peut l’appeler maison, réquisitionnée par l’armée israélienne… pour deux soldats perchés dessus… comme tour d’observation… scrutateurs bigleurs des environs…
Jafaa et sa femme mènent donc une vie simple et plus que modeste, sous les contraintes imposées par les israéliens et sous les dictas des barbus…
Ils survivent presque dans cette misère sans surprise …
Jusqu’au jour, après une belle tempête dansant sur la mer, où Jafaa, à la pêche, remonte dans ses filets…OH ! l’Incroyable… un cochon ! Gros plan sur Jafaa et le gros cochon noir, les deux effrayés ; sublime ! Cette bête immonde et impure, ramassée dans les filets de Jafaa était probablement tombée d’un navire secoué par la tempête !
La belle histoire… commence … et la vie de Jafaa bousculée bascule, car que va-t-il pouvoir faire de ce cochon de cochon… animal impur qu’aucun musulman qui se respecte ne saurait fréquenter !
Il ne faudra pas en dire plus… ni révéler, car toute cette histoire prendra un sens tragique- comique ! Sacré cochon… que va-t-il vivre, tenu en laisse par Jafaa, caché sous une fourrure de mouton sur le dos ?
À découvrir !
Et… lentement, se superpose la fable … un rêve fou, tragique et comique à la fois, comme annoncé… abordant avec humour et dérision, la vie de Jafaa et des deux peuples protagonistes, laissant entrevoir l’être humain avec ses peurs, ses scrupules, son rire et ses doutes !
Chacun conjure le sort commun qui les attache et les astreint à une vie impossible… dont le symbole, justement, est le COCHON ! (vous l’aurez compris dès le début, lecteur futé… lach) , dénominateur commun de leurs inquiétudes, sombre et sauvage, il représente le préjugé, l’inconnu et la peur (de l’autre) qu’il faut apprivoiser !
Le Cochon de Gaza avec sa valeur symbolique amène une seconde, double vue… une bonne dérive vers la fable… d’ailleurs, ce fut l’intention du réalisateur et avec raison… pour ne pas remuer inutilement le doigt dans la plaie…sans gaze.
Donc je n’en dirai pas plus… pour pas rompre le charme qui s’attache à ce film… à découvrir, qui en a envie, car rien n’est vraiment recommandable dans ce monde, vu les goût des gens… lach !
AH ! Quand même !
Vous pourrez … quand même y découvrir une belle et jeune femme russe se dandinant derrières des grilles à cochons… une de ces beautés russes… Wouh ! Waouaf Waouaf ! à lâcher le chien… haha ;
Belle femme, servie derrières des grilles, quand l’on aimerait approcher davantage… au beau visage slave mystérieux… hautes pommettes, yeux fendus comme astres troublants… ses mains longues et agiles ensorcelantes… le corps mur comme un fruit à craquer, à la limite du genre ; mis en bouche… petits seins ronds et fermes michelangélesques , écartés un peu, mise en valeur ! Fermes dans la main ! Ha ! ça se juge à l’œil de Lynx ! la taille suggestive, des hanches fécondes, une chute de reins vertigineuse… sur un arrondie de presqu’un Maillot sortant de l’eau glacé… et tout ça courant sur de belles jambes longues à semer le cochon… comme elles sont souvent bâties: tête de jeune fille au regard candide, farouchement innocent, sur un corps de femme dont la maturité promet toutes les prémisses ! Ha !
le conte russe…
Et plus tard … Elle se transforme même en princesse russe, avec une robe… sortie d’une fable russe… attendant son prince sur son beau cheval blanc débusquer d’une forêt de bouleaux… vous voyez ça ?
Va falloir ouvrir vos châsses bien grandes !
ICI , vous entrez dans la fable et de la fabulation, car cette jolie princesse russe est une chasseuse de semence-frais-de porc-mâles… le reste, vous le découvrirez dans le film ! Promis !
Faut voir comme elle se fait tirer par son cochon , légèrement de travers…dans la pelouse, la bête est forte, ha ; vous verrez son corps souple, fait pour l’amour… pour un assaut torride sous ce ciel chaud où le soleil luit et le vent brûlant attise les désirs… des spectateurs dans la sasalle… enfoncés ils sont… dans leur fauteuil rouge de jouissance… emportés par le rêve… Huch !
Cramponnez-vous ma belle ! Accrochez-vous mon beau ! C’est combien l’entrée déjà ? Ça vaut le coup ! Pas d’esquimaux, rien à se refroidir, que de la chaleur… un pays comme ça , ouvert au ciel…
Enfin, bref. Vous êtes encore là ? Vous suivez ? Pas fatigué du tout ? J’espère, lâchez pas avant la FIN ! Merci !
Très Bref … c’était pour vous parler un peu de la fraicheur du film… et quel porc; l’acteur principal avec Jafaa! Terrifiant la bestiole, noire, bruyante, dangereuse ! Elle incarne, grouinant, cette peur de l’inconnu qui s’est abattue depuis… sur ce pays, les deux… symbole terrible ! Ce porc qu’il faut tuer. Il n’accuse personne, mais démontre une situation ingrate qui stagne, dans laquelle l’homme souffre et essaie d‘exhorter cette souffrance en se servant de la dérision et d’un regard absolument humain sur leur vie… rendue absurde par les circonstances.
Des scènes drôles et sublimes avec cette bête immonde… sortie de l’homme, certainement, miroir de l’homme et qu’il va falloir apprivoiser !
Acteurs… tous, à la hauteur dans leurs rôles; et cette petite russe… pardon… au fait… je vous en ai déjà parlé ? Je ne m’en souviens plus ; vous me direz !…
Si vous faites abstraction du fond du film, des problèmes politiques, vous verrez un film simple, humain, au décor désuet de la misère où battent pourtant des cœurs, où vivent des hommes, survivent, de leur menues possibilités, et, survient ce porc, joliment dépeint, arrangé, bruyant, qui défie cette vie qui stagne, qui bouleverse leurs habitudes, pose des problèmes dont la solution réside justement dans la suite du film… avec simplicité… de l’humour noir et… où les protagonistes se narguent mutuellement faute d’entente, empoissonnés dans leurs contradictions et structures politiques !
Oubliez les préjugés … C’est un film aux paysages inconnus comme les acteurs, cela fait du bien… seul la dérision en vient à bout… vfrais !
Un film qui se distance de la réalité , en fait une fable plausible, le cochon comme dénominateur commun…ce porc noir, à la truffe suintante, mobile, reniflante, écœurante qui allait faire la fortune de Jafaa…une vraie histoire cochonne..et celui qu’on doit tuer… le porc… mais qui survit… comme l’espoir ! Heureusement !!!!
J’ai fini , je vous ai finis aussi ? lach !
Enfin la FIN!
………………………………….
Für andere AUGEN :
Das Schwein von Gaza
Hallo! Ihr lieben Tierfreunde! Ihr allerliebsten Streicheler! Sicher liebt Ihr, außer Hunde und Katzen, auch das Schwein, … nicht nur im Teller, nein, ein richtiges, anständiges, schönes Schwein und lebendig … aber sauber!… sicher, sicher, sonst kommt es nicht ins Haus. Sauberkeitli muss sein, und Ordnung muss herrschen! Klar, habe ich schon verstanden!
Also, liebe Freunde, hier geht es um ein Schwein im Film, wie schon der Titel es sagt!
Das menschliche Schwein in Gaza… natürlich nur symbolisch gemeint, wo denkt Ihr hin… Eine tragische lustige Geschichte mit viel Humor gefilmt… im Land der heißen explosiven Probleme, Ungerechtigkeiten, ohne Lösungen, Tränen und Leiden, wo Menschen in den schlimmsten Situationen „überleben“.
Das Schwein von Gaza!
Ein Film von Sylvain Estibal , wo die Wirklichkeit in den Traum stürzt, wo das Leben so schwer und absurde scheint, dass ein Traum daraus wird.
Dies war auch die Absicht des Filmmachers … und es ist ihm gelungen, darf man sagen! Er hat es verstanden, Abstraktion der schrecklichen Wirklichkeit der Zustände zu machen, und hat sie in die Ironie hineingerissen. Ein Film mit viel Herz und Kilos von Menschlichkeit unter dem glühenden Himmel von GAZA in Zusammenarbeit mit einem schwarzen grunzendem Schwein!
Absolut zu entdecken!
Sasson Gabay in der Hauptrolle ist ganz groß… und das Schwein auch!
Œil von Lynx – Gaza, Palestine , le 11/11/2011
(AVIS : Français/Deutsch)
Le film…
Dans un paysage pétri d’humanité en souffrance où le réalisme finit par prendre le visage d’une fable… devient onirique… et à l’insu des préjugés existants, des femmes et des hommes voguent à leurs occupations respectives… malgré tout.
avec Sasson Gabay et son cochon
Des deux peuples , des êtres blessés, qui se regardent avec la peur de l’inconnu dans l’âme, qu’il va falloir franchir un jour… jusqu’à ce que l’absurde et la dérision l’emportent… ultime défense d’apparence… impuissante de résoudre les problèmes de cohabitation, mais déjà une attente convergente vers l’espoir !
Nous sommes en Palestine pour vivre une jolie histoire, pas exempte de drame… sous-jacent, couverte par une comédie finement ficelée… absurde mais drôlement comique… ça aide !
LUI, il s’appelle Jafaa, il est pêcheur… le plus malhabile que l’on puisse s’imaginer… à pleurer de rage… car dans ses filets qu’il ramène, ça ne regorge que de boites de conserves et de baskets pourries jetées à la mer… et d’autres détritus… à part quelque menus poissons ridicules. C’est la honte sur son étal de marché… à côté des captures généreuses de ses confrères plus habiles au filet !
Jafaa et sa femme habitent une modeste maison, si l’on peut l’appeler maison, réquisitionnée par l’armée israélienne… pour deux soldats perchés dessus… comme tour d’observation… scrutateurs bigleurs des environs…
Jafaa et sa femme mènent donc une vie simple et plus que modeste, sous les contraintes imposées par les israéliens et sous les dictas des barbus…
Ils survivent presque dans cette misère sans surprise …
Jusqu’au jour, après une belle tempête dansant sur la mer, où Jafaa, à la pêche, remonte dans ses filets…OH ! l’Incroyable… un cochon ! Gros plan sur Jafaa et le gros cochon noir, les deux effrayés ; sublime ! Cette bête immonde et impure, ramassée dans les filets de Jafaa était probablement tombée d’un navire secoué par la tempête !
La belle histoire… commence … et la vie de Jafaa bousculée bascule, car que va-t-il pouvoir faire de ce cochon de cochon… animal impur qu’aucun musulman qui se respecte ne saurait fréquenter !
Il ne faudra pas en dire plus… ni révéler, car toute cette histoire prendra un sens tragique- comique ! Sacré cochon… que va-t-il vivre, tenu en laisse par Jafaa, caché sous une fourrure de mouton sur le dos ?
À découvrir !
Et… lentement, se superpose la fable … un rêve fou, tragique et comique à la fois, comme annoncé… abordant avec humour et dérision, la vie de Jafaa et des deux peuples protagonistes, laissant entrevoir l’être humain avec ses peurs, ses scrupules, son rire et ses doutes !
Chacun conjure le sort commun qui les attache et les astreint à une vie impossible… dont le symbole, justement, est le COCHON ! (vous l’aurez compris dès le début, lecteur futé… lach) , dénominateur commun de leurs inquiétudes, sombre et sauvage, il représente le préjugé, l’inconnu et la peur (de l’autre) qu’il faut apprivoiser !
Le Cochon de Gaza avec sa valeur symbolique amène une seconde, double vue… une bonne dérive vers la fable… d’ailleurs, ce fut l’intention du réalisateur et avec raison… pour ne pas remuer inutilement le doigt dans la plaie…sans gaze.
Donc je n’en dirai pas plus… pour pas rompre le charme qui s’attache à ce film… à découvrir, qui en a envie, car rien n’est vraiment recommandable dans ce monde, vu les goût des gens… lach !
AH ! Quand même !
Vous pourrez … quand même y découvrir une belle et jeune femme russe se dandinant derrières des grilles à cochons… une de ces beautés russes… Wouh ! Waouaf Waouaf ! à lâcher le chien… haha ;
Belle femme, servie derrières des grilles, quand l’on aimerait approcher davantage… au beau visage slave mystérieux… hautes pommettes, yeux fendus comme astres troublants… ses mains longues et agiles ensorcelantes… le corps mur comme un fruit à craquer, à la limite du genre ; mis en bouche… petits seins ronds et fermes michelangélesques , écartés un peu, mise en valeur ! Fermes dans la main ! Ha ! ça se juge à l’œil de Lynx ! la taille suggestive, des hanches fécondes, une chute de reins vertigineuse… sur un arrondie de presqu’un Maillot sortant de l’eau glacé… et tout ça courant sur de belles jambes longues à semer le cochon… comme elles sont souvent bâties: tête de jeune fille au regard candide, farouchement innocent, sur un corps de femme dont la maturité promet toutes les prémisses ! Ha !
le conte russe…
Et plus tard … Elle se transforme même en princesse russe, avec une robe… sortie d’une fable russe… attendant son prince sur son beau cheval blanc débusquer d’une forêt de bouleaux… vous voyez ça ?
Va falloir ouvrir vos châsses bien grandes !
ICI , vous entrez dans la fable et de la fabulation, car cette jolie princesse russe est une chasseuse de semence-frais-de porc-mâles… le reste, vous le découvrirez dans le film ! Promis !
Faut voir comme elle se fait tirer par son cochon , légèrement de travers…dans la pelouse, la bête est forte, ha ; vous verrez son corps souple, fait pour l’amour… pour un assaut torride sous ce ciel chaud où le soleil luit et le vent brûlant attise les désirs… des spectateurs dans la sasalle… enfoncés ils sont… dans leur fauteuil rouge de jouissance… emportés par le rêve… Huch !
Cramponnez-vous ma belle ! Accrochez-vous mon beau ! C’est combien l’entrée déjà ? Ça vaut le coup ! Pas d’esquimaux, rien à se refroidir, que de la chaleur… un pays comme ça , ouvert au ciel…
Enfin, bref. Vous êtes encore là ? Vous suivez ? Pas fatigué du tout ? J’espère, lâchez pas avant la FIN ! Merci !
Très Bref … c’était pour vous parler un peu de la fraicheur du film… et quel porc; l’acteur principal avec Jafaa! Terrifiant la bestiole, noire, bruyante, dangereuse ! Elle incarne, grouinant, cette peur de l’inconnu qui s’est abattue depuis… sur ce pays, les deux… symbole terrible ! Ce porc qu’il faut tuer. Il n’accuse personne, mais démontre une situation ingrate qui stagne, dans laquelle l’homme souffre et essaie d‘exhorter cette souffrance en se servant de la dérision et d’un regard absolument humain sur leur vie… rendue absurde par les circonstances.
Des scènes drôles et sublimes avec cette bête immonde… sortie de l’homme, certainement, miroir de l’homme et qu’il va falloir apprivoiser !
Acteurs… tous, à la hauteur dans leurs rôles; et cette petite russe… pardon… au fait… je vous en ai déjà parlé ? Je ne m’en souviens plus ; vous me direz !…
Si vous faites abstraction du fond du film, des problèmes politiques, vous verrez un film simple, humain, au décor désuet de la misère où battent pourtant des cœurs, où vivent des hommes, survivent, de leur menues possibilités, et, survient ce porc, joliment dépeint, arrangé, bruyant, qui défie cette vie qui stagne, qui bouleverse leurs habitudes, pose des problèmes dont la solution réside justement dans la suite du film… avec simplicité… de l’humour noir et… où les protagonistes se narguent mutuellement faute d’entente, empoissonnés dans leurs contradictions et structures politiques !
Oubliez les préjugés … C’est un film aux paysages inconnus comme les acteurs, cela fait du bien… seul la dérision en vient à bout… vfrais !
Un film qui se distance de la réalité , en fait une fable plausible, le cochon comme dénominateur commun…ce porc noir, à la truffe suintante, mobile, reniflante, écœurante qui allait faire la fortune de Jafaa…une vraie histoire cochonne..et celui qu’on doit tuer… le porc… mais qui survit… comme l’espoir ! Heureusement !!!!
J’ai fini , je vous ai finis aussi ? lach !
Enfin la FIN!
………………………………….
Für andere AUGEN :
Das Schwein von Gaza
Hallo! Ihr lieben Tierfreunde! Ihr allerliebsten Streicheler! Sicher liebt Ihr, außer Hunde und Katzen, auch das Schwein, … nicht nur im Teller, nein, ein richtiges, anständiges, schönes Schwein und lebendig … aber sauber!… sicher, sicher, sonst kommt es nicht ins Haus. Sauberkeitli muss sein, und Ordnung muss herrschen! Klar, habe ich schon verstanden!
Also, liebe Freunde, hier geht es um ein Schwein im Film, wie schon der Titel es sagt!
Das menschliche Schwein in Gaza… natürlich nur symbolisch gemeint, wo denkt Ihr hin… Eine tragische lustige Geschichte mit viel Humor gefilmt… im Land der heißen explosiven Probleme, Ungerechtigkeiten, ohne Lösungen, Tränen und Leiden, wo Menschen in den schlimmsten Situationen „überleben“.
Das Schwein von Gaza!
Ein Film von Sylvain Estibal , wo die Wirklichkeit in den Traum stürzt, wo das Leben so schwer und absurde scheint, dass ein Traum daraus wird.
Dies war auch die Absicht des Filmmachers … und es ist ihm gelungen, darf man sagen! Er hat es verstanden, Abstraktion der schrecklichen Wirklichkeit der Zustände zu machen, und hat sie in die Ironie hineingerissen. Ein Film mit viel Herz und Kilos von Menschlichkeit unter dem glühenden Himmel von GAZA in Zusammenarbeit mit einem schwarzen grunzendem Schwein!
Absolut zu entdecken!
Sasson Gabay in der Hauptrolle ist ganz groß… und das Schwein auch!
Œil von Lynx – Gaza, Palestine , le 11/11/2011
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