dimanche 11 novembre 2012

Prague - Volet Nr. 1

Prague Volet Nr.1

Praha
06.08.2010 (mis à jour le 08.08.2010)

 
La Ville de Prague- Prague La Mystère-Rieuse

Volet Nr.1



Préambule :
Prag entier est un poème, une beauté, un monstre qui nous échappe pour resurgir à l’instant avec plus de vivacité encore. Prague vous ouvre les portes du néant vers le néant, là, où la terre touche le ciel avec gratitude, où les éléments se réunissent, où une flamme crépitante danse sur l’eau vivante. C’est ainsi je l’ai ressenti et c’est ainsi que j’essaie de le relire dans mes souvenirs pour vous montrer cette ville en images accompagnées de petits poèmes

Visiter cette ville, demande de s’y donner corps et âme. Prague fait partie d’une culture où nos racines se sont emmêlées et ressourcées profondément, d’où l’on revient toujours songeur mais heureux. Devant tant de splendeur, tant d’impressions sur le centimètre carré, nous devons faire attention à nos pas de ne pas manquer un seul éclat, de ne pas passer, sans lever les yeux pour apercevoir toutes ces merveilles qui se présentent dans leur plus belles robes à nous, humble visiteur venu, encore ignorant !



Soyez courtois, saluez cette Belle Dame au passage, cette Ville qui vous offre tant, qui vous offre son cœur intact, sa musique, son Opéra, ses Théâtres, ses orchestres, son histoire, son peuple à la langue étrange, ses écrivain, ses musiciens et ses marionnettes splendides, où vous pouvez assister à la « Flûte enchantée » de Mozart, un Opéra de Marionnettes ! OUI ! Un de plus beau spectacle que j’ai jamais vu, une pure merveille, inoubliable !

Ville de Marionnettes, traversée par la Vltava, ce fleuve, miroir de souvenirs au dessus duquel les mouettes en ballet se donnent en spectacle, elle-même enjambée par un des plus beaux et impressionnants ponts,le PONT CHARLES , séparant la veille ville : STARE MESTO et la nouvelle ville : NOVE MESTO de MALA STRANA et de HARADCANY.



Les Marionnettes suspendues,
S’agitent, parlent et remuent, tout en couleur,
Gardent leur mystère, nous interrogent de leurs yeux.
Quel est le secret du sang qui nous attire dans leur ban ?
Le ciel en haut, l’enfer en bas,
La seule chose, que l’on connaît déjà… !



À Prague, ville dont j’ai rêvé,
Où l’on danse sur le Pont Charles,
Sans se soucier du monde
Sous l’œil hagard des statues.
Un ballet de mouettes dans le ciel
Les accompagne, au rire joyeux !


Parlez de cette Ville, demanderait d’écrire un livre, tant elle est riche et glorieuse, une des plus belles d’Europe !. Prague étale ses trésors partout, à regarder seulement, bien sûr, mais avec quelle joie nous les embrassons du regard, arpentons le Pont Charles, si majestueux avec ses statues immobiles, c’est un moment saisissant ! Qui sait, si la nuit venue, elles ne danseront pas pour se dégourdir les jambes ? Ce sont des hommes qui ont su, un jour, construire un tel monument ? Un chef-d’oeuvre du baroque ! Et, que faisons nous, aujourd’hui ? Qui ne se pose pas cette question ?
Dans les ruelles de Prague, allez, avec joie, vous fouler une cheville sur les jolis pavés ronds et lustrés de PAS innombrables, de PAS perdus, de PAS restés, de PAS à venir, dans la veille ville, mais gardez les yeux grand ouvert !
D’ailleurs, avec votre cheville foulée vous pouvez encore gagner une taverne célèbre (U-Fleku), afin d’y boire une bière d’une fraîcheur inexplicable ! Je vous montrai le chemin dans un deuxième volet, alors, la cheville, attendez, soyez prudent !

Je vous souhaite une belle visite de Prague…..Au fur et à mesure, j’ajouterai un peu d’histoire.
Mais vous savez déjà, que tout ce qu’ l’on peut lire, se trouve dans les guides, c’est à vous de découvrir, je n’y m’arrêterai guère. Je préfère lire avec mes yeux…dans l’âme de la ville, ils me suffisent !



Le Pont Charles abrite un musicien
Qui gagne à l’accordéon
De quoi faire pleurer des oignons !



Jan HUS, cet homme incandescent,
Jadis il fut livré aux flammes.
Un Loup, un jour, tout respectueux se fit,
Au monument se recueillit.




Quand, cet ange
Viendra vers nous,
Avec ses lèvres d’amère goût,
Avec ses ailes qui ont hanté
Cette vie, et, un gouffre ont creusé
De caresses qui ont manqué.
Pourquoi ne s’est-il pas montré,
Où la mort nous laisse à jamais seul,
Où l’amour ne nous montre pas le chemin.
Pourquoi cette âme ne prend-t-elle pas
Ce feu fervent qui nous brûle.
Pourquoi cette âme ne s’enflamme-t-elle pas
Et nous hausse vers ce grand spasme,
Quand nous escaladons les astres ?



À peine commence-t-on
À s’instruire,
Qu’il faut déjà repartir,
Avant qu’on ait de l’expérience,
Une goutte, dans l’océan immense !
Heureusement, substance, elle pense !
Avant de rendre la matière
À notre chère mère, TERRE !
Quand ce moment sera venu,
Quand nous aurons nos jours vécus,
Le choix qui s’impose :
C’est la métamorphose !
Grâce à la pensée et nos désirs,
Nous agirons en philosophe,
Pour éviter l’enfer ou pire !
Nous, voilà, qui ont réussis,
À prolonger notre vie !
Ainsi, en Marionnettes transformées,
Le glas, nous-mêmes pouvons sonner
!



Cette horloge astronomique,
Je la trouve vraiment comique.
Elle sonne, elle joue,
Elle rit, elle pleure,
Quand l’on se marie
Et quand on meurt.
Et en plus,
Elle indique l’heure !
Que l’on appelle,
Gastronomique,
Quand un « loup » de faim meurt !

Œil von Lynx 6 août 2010 PRAG

Volet Nr.1

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